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Item ÉVALUATION DES RÉSULTATS DU PROTOCOLE RITUXIMAB ASSOCIÉ À LA BENDAMUSTINE DANS LE TRAITEMENT DE LA LEUCÉMIE LYMPHOÏDE CHRONIQUE DU SUJET ÂGÉ ET SUJET NON ÉLIGIBLE À LA FLUDARABINE(UNIVERSITÉ MOULOUD MAMMERI DE TIZI OUZOU FACULTÉ DE MÉDECINE, 2024) Kamal AIT-SEDDIKLa Bendamustine est une molécule utilisée depuis 1969 pour le traitement du myélome multiple, elle a été approuvée pour le traitement de la LLC par la FDA en mars 2008. L’association de la Bendamustine au Rituximab a été évaluée par le GCLLSG chez les patients réfractaires avec un taux de réponse globale de 45,5%. L’étude CLL10 a comparé le FCR au RB en première ligne chez les patients âgés, le taux de RG était similaire dans les 02 bras mais le taux de RC était plus élevé dans le bras FCR, la médiane de SSP était de 41,7 mois pour le bras RB et de 48,5 mois pour le bras FCR chez les sujets de plus de 65 ans, sans différence significative. Ces résultats font du protocole RB le premier choix pour le traitement du sujet âgé de plus de 65 ans. Notre étude a porté sur l’évaluation du protocole RB dans le traitement de la LLC chez 50 patients âgés de plus de 65 ans, sans del 17p. Le diagnostic a été confirmé par cytométrie en flux chez tous nos patients. Les patients ont été inclus de mars 2018 à juin 2021. L’évaluation a été faite en janvier 2021 avec un délai moyen de suivi de 25 mois, un recul maximum de 45 mois pour le premier patient et minimal de 10 mois pour le dernier patient. Sur les 50 patients, 5 patients (10%) étaient au stade A, 10 (20%) au stade B et 35 (70%) au stade C de Binet. La forme tumorale Bulky avec un débord splénique > 06 cm a été retrouvée chez 19 patients soit 38%. Une hyperleucocytose 50000/mm3 a été retrouvée chez 62% des patients, un CD38 positif dans 47% des cas, une B2 microglobuline 3,5mg/l dans 78% des cas et l’infiltration lymphocytaire médullaire diffuse dans 84% des cas. La del 11q a été observée seulement dans 10% des cas. Une réponse globale a été obtenue chez 47 patients soit 94% avec un taux de réponse complète de 70% (35/50) et un taux de RP plus faible à 24%. Nos résultats démontrent l’efficacité de l’immunochimiothérapie (RB) chez le sujet âgé sans comorbidités. Nous avons observé moins de formes tumorales avec délétion 11q qui constituent un facteur de résistance au traitement. Les toxicités hématologiques précoces en particulier les cytopénies G3-4, notamment la neutropénie, l’anémie et la thrombopénie ont été observées respectivement dans 32,8%, 04% et 4,8% des cas. Les complications infectieuses ont été constatées dans 08% des cycles dont 3 épisodes (1,2%) ont nécessités une hospitalisation. La mortalité liée au traitement est de 02% identique à celle de l’étude CLL10 (2,1%).La mortalité liée aux comorbidités était de 04% en rapport avec l’âge des patients. Aucune rechute n’a été observée dans notre série. La SG, la SSP et la SSE à 45 mois sont respectivement de 85%, 89,2% et 83 ,1%. Nos résultats sembles meilleurs que ceux des autres études (CLL10 – GIMEMA- ERIC).Ces différences, s’expliquent probablement par le faible taux de notre échantillon, l’hétérogénéité des populations étudiées : différence d’âges pour l’étude CLL10 qui comporte une population plus jeune avec formes tumorales, pour l’étude GIMEME-ERIC, il s’agit d’une population plus âgée que la nôtre avec plusieurs comorbidités (patients unfit). Aucune différence significative n’a été retrouvée selon les différents facteurs pronostiques En analyse univariée et multivariée, seul le débord splénique > 06 cm a été identifié comme un facteur ayant un impact négatif sur la SSP.Item Résultats anatomo-radiologiques et fonctionnels de la correction tridimensionnelle de l’hallux valgus par ostéotomie métatarsienne type SCARF et ses variantes(Université Mouloud MAMMERI de Tizi-Ouzou Faculté de Médecine Département de Médecine, 2024-04-15) RACHEK AzzedineIntroduction-objectif : La chirurgie correctrice de l’hallux valgus n’a jamais cessé d’évoluer et continue encore de nos jours à connaitre des bouleversements qui sont en rapport soit avec la technique ou bien en rapport avec le matériel de fixation. L’ostéotomie SCARF s’est rapidement hisséeau rang de technique de référence pouvant être indiqué à tous les types d’hallux valgus. L’objectif de notre recherche est de définir des critères précis, cliniques et surtout radiologiques qui permettent d’optimiser la correction de l’hallux valgus, afin d’améliorer les résultats cliniques, radiologiques et surtout fonctionnels. Matériels et méthodes : C’est une étude prospective,monocentrique, mono-opérateur portant sur 122 malades qui totalisent 166 pieds, qui vise à évaluer les résultats anatomoradiologiques et fonctionnels de la correction de l’hallux valgus dans les trois plans de l’espace, par ostéotomie métatarsienne type SCARF et ses variantes. Résultats : L’âge moyen de nos malades est de 48 ans, de prédominance féminine avec une atteinte bilatérale en majorité. La notion de cas familiaux est retrouvée dans 63% des cas, la douleur représente un motif de consultation toujours retrouvé. L’étude clinique a permis de distinguer les hallux valgus avec ou sans retentissement sur les rayons latéraux. L’interprétation radiologique a pour but de rechercher les caractéristiques de l’hallux valgus et d’établir une planification radiologique basée sur des mesures angulaires qui doivent toujours être associées aux données cliniques. Discussion : On peut dire qu’une planification préopératoire est très utile et même indispensable pour réaliser des corrections plus précises, limiter les aléas et donc les incidents et les complications peropératoires. Ceci contribue certainement à améliorer certes le résultat radiologique postopératoire mais surtout le résultat fonctionnel. Conclusion : L’ostéotomie SCARF est une technique adaptée à tous les hallux valgus quel que soit l’importance de la déformation. L’optimisation des gestes opératoires est possible grâce à une planification préopératoire rigoureuse.Item ASSURANCE QUALITE TOTALE D'UNE MAINE RADIOLOGIQUE . RAPPORT DE DESS(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1992-09) Serhane KORTEBY, MohamedDAMELEC ayant lancé le projet de mise en place d'une certification assurant le contrôle qualité totale des chaînes radiologiques, le but de ce travail est d'établir un protocole de mesures. Durant tout le stage, nous avons décrit, de façon détaillée les différentes parties d'une chaîne radiologique, en s'appuyant sur différentes documentations techniques (C.G.R, VILLA, Siemens, Thomson). Le protocole de mesure choisi est basé sur les normes françaises et internationales. Nous l'avons aussi complété par des protocoles de mesilres—des fabricants. Pour le choix des instruments de mesures nous avons pris en compte les précisions et les seuils de mesures des appareils et bien entendu du rapport Qualité/Prix. Il est important de noter que ces contrôles se faisant sur site, notre choix s'est dirigé vers du matériel transportable (faible poids et facile à manipuler). Pour finir, nous pensons que ce travail constitue un support appréciable aux techniciens de maintenance en radiologie médicale. Il représente également une première brique d'un édifice qui mérite d'être poursuiviItem Etude des régulations itratésticulaires de la différenciation spérmatogénique par approche ex-vivo(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2008) ADAIKA, AichaNos résultats présentent que la clusterine est un marqueur des cellules de Sertoli dans la culture de tubes séminifères et que son expression n'est pas modifiée par la présence des cellules germinales.Les résultats présentés dans cette étude montrent, à l'aide de la RT-PCR, que l'expression du SCF, de c-Kit et du TGFB n'est probablement pas impliqué dans les altérations de la spermatogenèse ex vivo. En effet, leurs expressions ne sont pas modifiées au cours de trois semaines de la culture, et leurs expressions dépendent de la proportion des cellules où ils sont exprimés. Ces résultats devront être confirmés et approfondis. Il serait important aussi de faire des études par l'hybridation in situ et par immunocytochimie afin de déterriiiner précisément à quel stade de développement de cellules germinales exprime plus le TGFB et le c-Kit dans l'épithélium séminifères. En effet ces gènes sont exprimés dans les différents types de cellules germinales pré et post méiotique. Ces études devront être complétées par l'étude de l'expression des différentes protéines des SCF/c-Kit et TGFB par le western blot afin de bien déterminer le taux d'expression de chaque facteur qui est soit dû à l'expression du gène, soit à la quantité de protéine exprimée. Il serait intéressant d'étendre notre recherche à d'autres facteurs de croissance intratesticulaire, ce que l'équipe avait initié ; l'étude de la localisation de l'expression des différents facteurs de croissance pourrait être également complétée par les techniques d'hybridation in situ.Une connaissance approfondie de la physiologie des facteurs de régulation de différentes étapes de la spermatogenèse devrait permettre d'améliorer le diagnostic et le traitement des pathologies testiculaires. Traiter les problèmes d'infertilité masculine permettrait peut être, à terme, d'éviter, dans certain cas, le recours à des techniques de procréation médicalement assistées dont les conséquences sur la descendance ne peuvent être encore évalués aujourd'hui.Item Techniques d'étude des interactions protéine-protéine in vivo(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2006-06-15) DJALLALI, MohamedLes interactions de protéine sont importantes pour coordonner des événements de signalisationcellulaires aussi bien que des fonctions métaboliques en n'importe quelle cellule. L'identification de l'ensemble des protéines agissantes l'un avec les autres est utile pour déchiffrer les fonctions biologique, leurs mécanismes moléculaires et pour assigner des fonctions aux protéines inconnues basées sur leurs associés auissant l'un sur l'autre. Il est souvent difficile de valider les interactions telles qu'analysées in vitro, à savoir, que les protéines agissantes l'un sur l'autre sont extraites ou présentes dans le leur état natif. Des techniques immensément populaires développées pour détecter et étudier des interactions de protéine-protéine in vivo parce qu'elle se prête au choix des protéines agissantes l'un sur l'autre d'une bibliothèque des protéines associé comme le double hybride et TAI' Tag. Cependant. ces techniques élégantes, même puissantes ont leurs inconvénients. puisque l'interaction est examinée seulement au noyau d'une cellule de levure. Certains nécessitent une analyse par des techniques complémentaires (cross linkeing). Une analyse in vivo sur les cellules vivantes des mammifères est indispensables pour mieux comprendre les différents mécanismes biologiques et de signalisations chez les mammifères, aussi bien identifier les différentes interactions en temps réel sur les cellules vivantes (Le FRET, BRET et FCCS) ; malgré certains inconvénients pour le FRET. Grâce à toutes ces techniques on est arrivé à tracer une carte de différentes interactions possibles dans l'organisme. Ces études sont primordiales pour la compréhension de la fonction de chaque protéine à l'intérieur de la celluleItem Principes, stratégies et résultats de la vaccination anti-tumorale chez l'homme utilisant des antigénes présentés par les cellules dendritiques(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2006) ABDELOUHAB, KatiaPlusieurs travaux [4, 43,13] ont prouvé la faisabilité et la non toxicité de l'immunothérapie basée sur les DCs en clinique, son efficacité a été observée chez quelques patients particulièrement lorsque les DCs ont été convenablement maturées et activées. Les chercheurs et les cliniciens sont confrontés à prouver l'efficacité des vaccins anti-cancer basés sur les Vi DCs dans des études cliniques bien contrôlées et d'élargir leur utilisation chez tous lès patients. Ainsi, la standardisation'-des vaccins basés sur les DCs doit être l'objectif des recherches à venir. La collaboration entre les sociétés de biotechnologie, les banques de sang et les institutions académiques va certainement activer le développement des vaccins basés sur les DCs. L'optimisation de cette stratégie peut conduire à une thérapie incontournable, traçant le chemin pour un traitement prometteur.Item Etude in vivo de la réponse humorale anti-donneur et du microchimérisme après injection de cellules dendritiques du donneur dans un modèle de rejet chronique : rat Fisher donneur - rat Lewis receveur. Méthodologie.(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2005-07-06) ABDELOUHAB, KatiaL'objectif final du projet est de tester l'hypothèse selon laquelle un anticorps monoclonal anti-CD4 associé à des CD matures du donneur pourrait induire une tolérance dans un modèle de rejet chronique de coeur dans une combinaison rat Fisher donneur/rat Lewis receveur. A côté de son effet bénéfique potentiel, ce modèle en orientant la réponse immune vers une réponse TH2 pourrait favoriser la sécrétion d'anticorps anti-donneur et donc le développement du rejet chronique. L'objectif de ce travail, a été de réaliser la première partie du projet qui a cherché à définir la réponse anticorps après injection de cellules dendritiques, la réalité d'un microchimérisme induit par cette injection et de définir la dose d'anticorps monoclonal anti-CD4 à injecter en même temps que les cellules dendritiques. L'injection de 5.106 cellules dendritiques du donneur induit chez le receveur une réponse anticorps mise en évidence en cytométrie en flux. L'injection de la même dose de cellules dendritiques induit chez le receveur un microchimérisme dans les organes lymphoïdes primaire et secondaires qui se prolonge au moins jusqu'à J 45. Une opsonisation complète des lymphocytes est observée pendant 12 heures après une injection de 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 (W3-25). Ces données préliminaires nous permettrons d'utiliser le modèle de greffes de coeur rat Fisher vers rat Lewis associé à une injection à JO de 2.106 cellules du donneur avec ou sans 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 par rat.Item LA HERNIE PRE-MARGINALE POSTERIEURE DU RACHIS LOMBAIRE CHEZ L'ADULTE ET MALADIE DE SCI-IEUERMANN A PROPOS DE SIX OBSERVATIONS(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1994) FENNI, AmarLa hernie pré-marginale postérieure est une làon rare intéressant aussi bien l'adolescent que l'adulte jeune. Elle a connu ces dernières années un regain d'intérêt avec l'utilisation du scanner et plusieurs études récentes émanant de radiologues, lui ont été consacrées. Elle correspond à l'équivalent postérieur d'une hernie rétro-marginale antérieur, refoulant le listel marginal en arrière. Elle favorise souvent la constitution d'une- hernie discale postérieure‘du _même espace intervertébral. Sa localisation lombaire est de loin la plus fréquente, le plateau inférieur de la vertèbre L4 étant le plus souvent touché; elle se traduit cliniquement par une lombalgie isolée ou associée à une radiculalgie plutôt unilatérale. En cas d'échec du traitement médical on a souvent recours à la chirurgie. L'aspect radiologique qui en résulte est pathognomonique; les clichés standards de profil et la tomodensitométrie permettent d'en faire aisément le diagnostic qui est basé sur l'existence d'un spicule osseux faisant saillie dans le canal lombaire plus ou moins associé à un aspect hypoplasique du coin postéro-inférieur de la vertèbre et d'une image d'hypodensité vertébrale postérieure qui pourrait être responsable de compression des structures nerveuses avoisinantes. L'origine dystrophique de la HPMP est actuellement clairement démontrée, notre travail vient appuyer les données de la littérature.Item INTERET DE LA MACROBIOPSIE DANS LES LESIONS MAMMAIRES : ETUDE RETROSPECTIVE(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2005) ABI AYAD, NABILLa fréquence et la gravité du cancer du sein en font un problème de santé publique majeur. Le développement du dépistage, associé à l'amélioration des techniques d'imagerie mammaire a provoqué l'affluence d'images radiologiques infra-cliniques. La cytoponction à l'aiguille fine, largement utilisée dans les années 90, s'est peu à peu associée puis remplacée par des techniques plus agressives que sont les microbiopsies percutanées qui permettent une étude histologique plus précise et plus complète par rapport à la cytoponction. La taille des prélèvements et l'exactitude du ciblage ont très vite conditionné la fiabilité de ces techniques. Bon nombre de prélèvements trop exigus pouvaient représenter pour l'anatomo- pathologiste des difficultés diagnostiques, en particulier pour les lésions frontières comme l'hyperplasie épithéliale atypiqustè (IIEA). Ces contraintes ont peu à peu induit l'avènement de technique encore plus performantes à savoir les macrobiopsies percutanées mammaires. Ces prélèvements de grande taille assure une fiabilité identique à celles des biopsies chirurgicales, sans les désagréments de l'anesthésie générale. Sous anesthésie locale, aidées d'un système d'aspiration, elles permettent un carottage tissulaire concentrique autour de la cible choisie. Nous présentons dans ce travailles résultats des 158 premières procédures mammotome* Cette étude avait pour but d'évaluer la méthode, de situer sa place parmi les autres techniques d'imagerie "et d'en étudier les avantages, limites et les inconvénients. 139 examens (88%) ont été réalisés pour des microcalcifications, 19 (12%) pour des opacités isolées. II y avait 99 ACR 4 (62,4%), 8 ACR 5 (5%), 49 ACR 3 (31 %) et 2 ACR2. 124 lésions étaient bénignes dont 17 hyperplasies épithéliales atypiques (HEA). 34 lésions sont malignes dont 20 avec une composante invasive. 7 des HEA et toutes les lésions malignes ont eu une reprise chirurgicale. La sous évaluation des HEA est de 28,57 % ; celle des carcinomes canalaires in situ de 35,7 %. La VPP des ACR 4 pour le diagnostic de malignité St de 22,2 % (22 cas /99). Celle des ACR 3 est de 10 % (5 cas / 49) classification ACR. Les indications principales sont les lésions classées ACR 4 et Parmi les 124 lésions bénignes, 77 étaient classées ACR 4 et 1 ACR 5 (autant de procédures qui ont évité un acte chirurgical). Les avantages de la macrobiopsie sont lié à son faible coût, son excellente tolérance, sa fiabilité diagnostique identique à celle de la biopsie chirurgicale et par rapport à cette dernière a l'avantage d'être pratiquées sous anesthésie locale et de ne pas laisser de séquelles visibles. La macrobiopsie est un examen de choix pour gérer les lésions bénignes surtout lorsqu'elles sont associées à des facteurs de risques (pour la catégorie ACR 3) ou lorsque le degré de suspicion radiologique est plus important (catégorie ACR 4). Elle doit en principe réserver l'acte chirurgical aux anomalies malignes (augmentation de la VPP chirurgicale dans le diagnostic de malignité). Les limites de la technique sont essentiellement liées à des problèmes de prise en charge; certaines de ces situations étaient déjà connues des radiologues avec la microbiopsie et persistent avec la macrobiopsie, même si elles sont améliorées. Il s'agit des problèmes de sous estimations histologique (Hyperplasie épithéliale atypique versus carcinome canalaire in situ et carcinome canalaire in situ versus composante invasive). D'autres situations sont nouvelles liées à la technique elle-même. La conduite à tenir face aux néoplasie lobulaire n'est pas encore clairement établie. De même que la conduite à tenir face aux anomalies ACR3 dans leur globalité. Par ailleurs la macrobiopsie demeure un examen diagnostic sans prétention thérapeutique car le morcellement des prélèvements ne permet pas d'étudier la lésion dans sa globalité et en particulier d'en étudier les berges. Au total : Sur les 158 procédures de macrobiopsie mammaire par aspiration confirme celle des autres équipes: cette technique maintenant éprouvée permet par sa grande fiabilité d'enlever ou d'échantillonner une lésion mammaire infraclinique dans des conditions de confort et de tolérance excellente. Les indications doivent être discutées de façon collégiale, la sélection se faisant à partir de laACR 3 à risque, niais de plus en plus la technique s'étend aux lésions ACR 3 sans risque et ACR 5. Le risque de sous estimation est diminué pour les lésions de petites tailles, centimétriques ou infra centimétrique. En cas de lésions étendues n'ayant pas pu bénéficier d'une exérèse complète nous recommandons: En cas d'anomalie bénigne, une simple surveillance En cas d'HEA , une reprise chirurgicale En cas de CLIS une reprise chirurgicaleItem les réactions psycho-traumatiques au tremblement de terre chez l'enfant âgé de 9 à 12 ans (6 mois après le séisme),Le site de BORDJ EL KIFFAN ALGER(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2004-02) SACI, SHIRAZ- Avant de conclure notre travail, ne nous pouvons que rapporter nos différente hypothèses préablement émises et portant respectivement sur : 1- L'évènement traumatique semble générer des troubles psychotraumatiques chez l'enfant. 2- Les troubles psychotraumatiques semblent avoir une influence sur le rendement scolaire. - Ainsi nous allons les discuter en fonction de nos résultats, obtenus à travers l'analyse du contenu du discours (l'entretien clinique) et en les complétant par le dessin libre en faisant l'analyse des deux cas cliniques -choisis, de manière aléatoire.; - En effet en ce qui concerne le syndrome de répétition décrit dans le DSM N ; nous avons retrouvé le vécu traumatique très imprégnant chez Lila, à travers une redondance de 07 lors de l'analyse de contenu de son entretien ainsi que le syndrome de *reviviscence. Alors que pour Assia le premier était estimé à 09, par contre le syndrome de reviviscence et l'évitement des stimuli évocateurs à 04 chacun d'eux. Sans oublier de signaler les résultats obtenus à travers le dessin, qui ont reproduit l'évènement traumatique. Ce qui confirme en grande partie la première hypothèse qui est en faveur d'un (PTSD) syndrome post traumatique. - Par ailleurs , l'entretien clinique nous a révélé un fléchissement scolaire mis en évidence par les mauvais résultats scolaires marqués dans les évaluations était appuyé par les scores obtenus dans l'analyse du contenu. A savoir que les catégories relatives aux symptômes somatiques et anxieux, semblent avoir générer chez les deux cas Lila et Assia, des difficultés dans leurs apprentissages scolaires. Ceci nous semble corollaire avec les difficultés de concentration, manque d'attention et des troubles de la mémoire. Par conséquent la deuxième hypothèse est mise en sens, sera confirmée. Malgré la présence du syndrome post-traumatique, nous demeurons optimistes quand au devenir de Assia, qui s'est projetée dans le futur en manifestant le désir d'être médecin ; par contre nous tes, tons réservées quand au devenir de Lila qui s'est montée réticente autour de la question. - A noter que les deux fillettes ont bénéficié d'une' prise en charge psychologique. Ceci nous emmène à réfléchir sur la mise en place d'un dispositif de prise en charge psychologique précoce dans un but préventif et thérapeutique.Item RESULTATS ACTUELS DE L'ANGI0PLASTIE TRANSLUMINALE DES CORONAIRES : BILAN DE L'ANNEE 1983-1984(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1985) LABACCI, MustaphaItem EXPLANTATION(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1999-04-30) KOULOUGHLI, MOHAMED EL HADIL'explantation est une intervention complexe, non réglée, dont la technique, doit être adaptée à chaque cas particulier. Elle doit toutefois être envisagée précocement dès que la responsabilité de l'implant ne fait pas de doute dans la genèse d'une complication post — opératoire. Notre travail a porté sur l'étude de 16 cas d'explantation toutes effectués au service d'ophtalmologie du CHU A . Le DANTEC à Dakar entre le 29 / 12 / 1994 et le 09 / 02 / 1998. Cette étude rétrospective a analysé une série de malades pseudopbalces opérés -entre 1990 et 1994. 1) Au plan épidémologique l'explantation s'est pratiquée beaucoup plus chez les hommes (62,5%) que chez les femmes (37,5 % ) avec un sex-ratio de 1,66. L'âge moyen était de 46,7 ans avec des extrêmes allant de 14 ans à 78 ans. La plupart des implants explantés étaient des ICA (56,25 %) La durée moyenne dirp.ort du cristallin artificiel était de 8 mois Le nombre de consultations en post - opératoire se limitait à 4,6 en moyenne_ - 2) Au plan clinique Comme signes fonctionnels, la douleur et la baisse de l'acùité visuelle représentaient les principaux motifs de consultation avec 93,75 % contre 87,50 Û o. L'hypertonie oculaire représentait, quant à elle, la principale indication d'explantation avec 68,75 % des cas. te deuxième signe physique motivant Pexplantation- était la kératopathie bulleuse avec ses 62,50 % des cas. Les ICA étaient dans tous les cas les premiers générateurs des complications. 43,75 % contre 25 % pour les hypertonies oculaires et 50 % contre 12.50 % pour les kératopathies bulleuses. 3) Au plan technique opératoire les SVE n'ont été utilisées que dans 12,50 % des cas par faute de moyens. La section de l'haptique a été pratiquée dans 25 % des cas, moitié ICA et-moitié ICP 4) Sur le plan fonctionnel et anatomique Nous avons pu chiffrer l'acuité visuelle après Fexplantation dans 3 cas seulement, néanmoins nous avons retrouvé un cas d'amélioration de l'acuité visuelle. sans réimplantation secondaire ni kératoplastie, passant de "perception lumineuse" à "compte les doigts à" 30 cm après correction par des lunettes simples. Tous les porteurs d'ICA se sont retrouvé-g avec des kératopathies bulleuses soit 56,25% et les seules cornées claires se voyaient chez les portseurs d'ICP, anciennement oedèmatiées (31,25 %). 6,25 % d'yeux porteurs d'ICP ont vu se compliquer leur cornée, passant d'un oedème simple à une dystrophie cornéenne. L'explantation a été très bénéfique comme traitement de l'hypertonie oculaire, tant chez les porteurs d'ICA que d'ICP. Le tonus oculaire a chuté à chaque fois sauf dans un seul cas, soit 6,25%, et s'est normalisé dans 68,75 % des cas. La prévention de l'explantation passe par l'exigence d'une qualité sans faille 'dans la chirurgie de la cataracte, la poursuite des recherches pour l'amélioration de la biocompatibilité des implants, et du calcul écho-biométrique de leur puissance optique. Le choix d'un implant et de sa technique de fixation ne doit donc pas faire méconnaître au chirurgien la possibilité de devoir l'enlever secondairement. Un implant inadapté peut être responsable de simples phénomènes optiques source de gêne visuelle, mais aussi de complications plus graves car susceptibles d'aboutir à la perte de l'oeil. Il importe donc de savoir poser précocément l'indiCation d'une explantation, avant que dès lésions irréversibles ne se soient installées. Lorsque la responsabilité d'un implant défectueux ou inadapté est établie, son ablation peut être associée à la pose adéquate d'un nouvel implant (échange d'implant). La date de l'intervention reste fonction de chaque cas particulier. Après un échec de l'implantation, l'oeil compliqué ne pourra être sauvé que par l'explantation. Tout chirurgien consciencieux et sérieux devra reconnaître et assumer en toute humilité son échec. Et sans abandonner son patient, il continuera la prise en chargé car d'autres possibilités de traitement lui restent offertes Dans notre cas presque tous les malades étaient opérés de cataracte et implantés ailleurs. L'explantaion peut être associée au traitement des lésions induites: kératoplastie, chirurgie fistulisante pour l'hypertonie. décollement de rétine et endophtalmie. Nous pensons qu'avec une meilleure information et sensibilisation des patients en matière de surveillance, de respect de rendez-vous des consultations. la réintroduction et l'autorisation des dons et des greffes d'organes. nous pourrons améliorer et éviter, à l'avenir beaucoup de cas de baisse de l'acuité visuelle.Item Rôle du biologiste dans la lutte contre les infections nosocomiales(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1998) CHAIB, AbdelhakAujourd'hui, les services hospitalier français sont confrontés aux difficultés des infections nosocomiales qui constituent à l'heure actuelle un problème. majeur de santé public. La gravité de certaines affections, les techniques invasives de diagnostics et de soins, les traitements immunosuppresseurs, l'émergence de germes multi-résitants font des patients hospitalisés une population variée, cohabitant dans la même unité de soins, voire dans la même chambre qui justifient les préoccupation des soignants, le besoins croissants d'élaborer des procédures par le CLIN, procédure parfois encore inhabituelles aux unités de soins comme l'organisation d'un isolement, visant à prévenir le développement et ou la transmission des infections nosocomiales. C'est aussi au sein de ce groupe (CLIN) que le biologiste peut et doit agir afin de maîtriser ce phénomène. Il peut agir àplusieurs niveaux : architecture de l'établissement, élaboration de mesures préventives standardret spécifiques complémentaires, détection de bactéries , multi-résistances et des infections nosocomiales, le "bon" usage des antibiotiques, informations épidémiologiques des services ,..., dans le souci d'améliorer la qualité des soins tout en préservant l'effet des antibiotiques disponibles le plus longtemps possibles et l'écologie bactérienne, de diminuer la souffrance des patients et le coût d'hospitalisationItem PRISE EN CHARGE DU KYSTE HYDATIQUE DU FOIE: RÉSULTATS D'UNE ENQUÊTE NATIONALE(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2008) Ismaïl Bachir, TABET AOULLe Kyste Hydatique constitue encore un problème de santé publique au Maroc. Sa prise en charge thérapeutique ne fait pas encore l'objet d'un consensus. Après avoir réalisé une enquête au sein de l'Hôpital IBN SENA de Rabat en 2006, nous voulons voir l'état de cette prise en charge dans les Centres Hospitaliers Provinciaux (CHP). Matériels et méthodes : L'enquête a intéressé 13 CHP avec 150 Médecins Participants (109 Spécialistes et 41 Généralistes), dans la Zone Nord et la Région Chaouia Ouardigha, la Région de Meknès Tafilalt et Mohammedia. Cette enquête a été faite moyennant un questionnaire comportant un certain nombre de paramètres relatifs à la prise en charge du Kyste Hydatique du Foie, aussi bien diagnostics que thérapeutiques. L'ensemble des réponses ont été analysées, en collaboration avec le Laboratoire de Biostatistique et de Recherche Clinique et Epidémiologique (LBRCE) de la Faculté de Médecine et de Pharmacie de Rabat. Résultats : Il ressort de cette étude que la plupart des Médecins n'avaient pas eu de formation dans la prise en charge du KH, notamment 82% des Généralistes et 35% des Spécialistes. Si nous nous intéressons aux moyens de diagnostic, seulement 58% des Généralistes utilisent l'imagerie et la sérologie Vs, 77% des Médecins Spécialistes. En parallèle, nous observons, positivement, que la plupart des Médecins (93%) utilisent l'imagerie pour la décision thérapeutique notamment les Médecins Spécialistes. Pour les modalités thérapeutiques prises en considération dans le traitement du KH, aucun Médecin Généraliste et seulement 11% des Médecins Spécialistes ont pris en considération aussi bien le traitement médical, le traitement percutané, le traitement chirurgical et l'abstention comme choix thérapeutique. La prise en charge du KH nécessite le plus souvent une discussion multidisciplinaire, nous remarquons que celle ci n'existe que dans 15% des CHIP intéressés par l'étude. Si nous examinons les choix thérapeutiques en fonction du stade : Pour le KHF stade 1-de Gharbi : 63,5% des Médecins participants dans l'étude ont choisit le traitement chirurgical, mais plus intéressant encore, 17,6% ne savent pas quel est le traitement idéal pour ce stade, et seulement 11,5% ont reconnu le traitement percutané comme indication thérapeutique. Pour le KHF stade 2 de Gharbi : 75% des Médecins participants ont opté pour le traitement chirurgical, 18,2% ne savent pas quel traitement adopté et seulement 5,4% ont reconnu le traitement percutané comme attitude thérapeutique adéquate. Pour le KHF stade 3 de Gharbi : 72,9% des Médecins participants ont choisit le traitement chirurgical, 17,6% ne savent pas quelle attitude thérapeutique choisir et 5,4% ont sélectionné le traitement percutané. Pour le KHF stade 4 de Gharbi qui, théoriquement, ne nécessite aucun traitement selon les recommandations de l'OMS, 73,6% des Médecins participants ont choisit le traitement chirurgical pour ce stade, et 20,3% ne savent pas quelle attitude prendre. 'Enfin pour le KHF stade 5 de Gharbi : qui lui aussi ne doit pas être traité, 27% des Médecins participants pensent qu'un traitement chirurgical doit être fait et 21% ne connaissent pas quelle attitude choisir. L'échographie a une place primordiale dans la prise en charge thérapeutique du KI-IF. Et ceci aussi bien pour le diagnostic que pour le traitement. Si nous observons les résultats de l'étude quant à la classification des images proposées aux Médecins participants, nous constatons que : Pour le KHF stade 1 66,7% des Médecins Généralistes et 93% des Médecins Spécialistes ont pu classé ce kyste correctement. Pour le KHF stade 2 : La plupart des Médecins participants aussi bien les Généralistes que les Spécialistes connaissent bien ce stade (91,8%). Pour le KHF stade 3 : 87,3% et 96,8% des Médecins participants, selon le type d'image proposé; ont reconnu le kyste. Pour le KHF stade 4 : 50% des Médecins Généralistes et 89,1% des Médecins Spécialistes ont classé ce kyste correctement. Et enfin pour le KHF stade 5 : 50% des Médecins Généralistes et 71,9% des Médecins Spécialistes ont stadifié ce kyste correctement. Conclusion : Il ressort de nôtre étude qu'il y a un manque de formation des Médecins. C'est pourquoi un effort considérable doit être déployé pour améliorer la qualité de prise en charge de cette pathologie au Maroc d'autant plus qu'elle présente de part sa fréquence et sa morbidité un problème majeur de santé publique.Item ETUDE DU ROLE DES SOUS-POPULATIONS DE CELLULES DENDRITIQUES DANS L'EXPANSION ET LES FONCTIONS DES CELLULES T RÉGULATRICES CHEZ LE RAT(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2007-12-19) OUABED, AsmahanItem Etude in vivo de la réponse humorale anti-donneur et du microchimérisme après injection de cellules dendritiques du donneur dans un modèle de rejet chronique : rat Fisher donneur - rat Lewis receveur. Méthodologie.(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2005-07-06) ABDELOUHAB, KatiaL'objectif final du projet est de tester l'hypothèse selon laquelle un anticorps monoclonal anti-CD4 associé à des CD matures du donneur pourrait induire une tolérance dans un modèle de rejet chronique de coeur dans une combinaison rat Fisher donneur/rat Lewis receveur. A côté de son effet bénéfique potentiel, ce modèle en orientant la réponse immune vers une réponse TH2 pourrait favoriser la sécrétion d'anticorps anti-donneur et donc le développement du rejet chronique. L'objectif de ce travail, a été de réaliser la première partie du projet qui a cherché à définir la réponse anticorps après injection de cellules dendritiques, la réalité d'un microchimérisme induit par cette injection et de définir la dose d'anticorps monoclonal anti-CD4 à injecter en même temps que les cellules dendritiques. L'injection de 5.106 cellules dendritiques du donneur induit chez le receveur une réponse anticorps mise en évidence en cytométrie en flux. L'injection de la même dose de cellules dendritiques induit chez le receveur un microchimérisme dans les organes lymphoïdes primaire et secondaires qui se prolonge au moins jusqu'à J 45. Une opsonisation complète des lymphocytes est observée pendant 12 heures après une injection de 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 (W3-25). Ces données préliminaires nous permettrons d'utiliser le modèle de greffes de coeur rat Fisher vers rat Lewis associé à une injection à JO de 2.106 cellules du donneur avec ou sans 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 par ratItem LA HERNIE PRE-MARGINALE POSTERIEURE DU RACHIS LOMBAIRE CHEZ L'ADULTE ET MALADIE DE SCHEUERMANN A PROPOS DE SIX OBSERVATIONS(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1994) FENNI, AmarLa hernie pré-marginale postérieure est une làon rare intéressant aussi bien l'adolescent que l'adulte jeune. Elle a connu ces dernières années un regain d'intérêt avec l'utilisation du scanner et plusieurs études récentes émanant de radiologues, lui ont été consacrées. Elle correspond à l'équivalent postérieur d'une hernie rétro-marginale antérieur, refoulant le listel marginal en arrière. Elle favorise souvent la constitution d'une- hernie discale postérieure‘du _même espace intervertébral. Sa localisation lombaire est de loin la plus fréquente, le plateau inférieur de la vertèbre L4 étant le plus souvent touché; elle se traduit cliniquement par une lombalgie isolée ou associée à une radiculalgie plutôt unilatérale. En cas d'échec du traitement médical on a souvent recours à la chirurgie. L'aspect radiologique qui en résulte est pathognomonique; les clichés standards de profil et la tomodensitométrie permettent d'en faire aisément le diagnostic qui est basé sur l'existence d'un spicule osseux faisant saillie dans le canal lombaire plus ou moins associé à un aspect hypoplasique du coin postéro-inférieur de la vertèbre et d'une image d'hypodensité vertébrale postérieure qui pourrait être responsable de compression des structures nerveuses avoisinantes. L'origine dystrophique de la HPMP est actuellement clairement démontrée, notre travail vient appuyer les données de la littérature.Item MÉMOIRE POUR LE DIPLÔME D ÉTUDES SPÉCIALISES DE CARDIOLOGIE ET MALADIES VASCULAIRES ÉLÉMENTS PRONOSTIQUES DE L'HYPERTENSION ARTÉRIELLE PULMONAIRE(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2007) MERIBOUT, SalimL'hypertension pulmonaire reste rare mais de pronostic très sévère, l'histoire naturelle de la maladie reste hétérogène avec des patients qui décèdent en quelques mois et d'autres pouvant vivre plusieurs années. L'explosion des connaissances concernant la physiopathologie de cerce maladie durant la dernière décennie a permis de mettre en route des traitements qui ont bouleversé l'évolution de cette maladie. Etablir un pronostic de ses patients est important car il influencera la décision thérapeutique et permettra leur suivie rigoureux et objectif afin de les inclure dans la liste de transplantation pulmonaire au moment opportun vue les délais d'attente relativement longs, conséquence du faible nombre de donneurs.Item DÉFORMATION CORNÉENNE APRES CHIRURGIE SCLÉRALE(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 1994-09-30) EL HIRECH, M'HamedCette àpproche cornéenne topographique ne semble donc pas valider la chirurgie sclérale pour la correction d'astigmatisme cornéen antérieur. A niveau des valeurs absolues, l'étude des changements d'axe valable surtout pour les.indentations localisées, nous semble en conséquence de peu d'intérêt. Enfin, la réversibilité de l'effet cornéen de la chirurgie sclérale, bien que nos délais post-opératoires sont courts, ne semble faire aucun doute dans la grande majorité des cas.Item Corrélations radio-anatomiques des lésions malignes et bénignes du pancréas, des plus fréquentes aux plus rares(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2010-09-29) RABAHI, Yacine