Analyse expérimentale de la dégradation d’un élément en Béton en service

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dc.contributor.authorChibani, Ferroudja
dc.contributor.authorHaddoum, Saida
dc.date.accessioned2019-06-26T09:52:00Z
dc.date.available2019-06-26T09:52:00Z
dc.date.issued2018
dc.description71 f. : ill. ; 30 cm. (+ CD-Rom)en
dc.description.abstractAu début de ce travail, nous nous étions fixés plusieurs objectifs : tout d’abord, nous souhaitions apporter des éléments nouveaux concernant la compréhension du phénomène de la dégradation du béton, en faisant appel dans le premier chapitre à quelques généralités sur les pathologies du béton et les causes de ces dernières. Nous nous sommes donc logiquement tournés vers l’étude de ce phénomène au laboratoire, en effectuant sur les éprouvettes prismatiques de dimension 10x10x40 cm3 des cycles de dégradation différents. Les cycles commencent après que le béton a atteint l’âge de 28 jours. Le cycle est comme suit : les éprouvettes sont immergés dans deux milieu (un groupe d’éprouvettes dans l’eau douce et un autre dans un milieu d’eau salé) pendant 24h, puis par la suite séchées pendant 24h à l’air libre, passées après à l’étuve pendant 12h à une température égale à 60°C, et enfin les éprouvettes sont soumises à un chargement de 0.5 et 0.7 Fmax. Cette étude de dégradation des éprouvettes a donné des résultats très intéressants car elle a permit de mettre en évidence la dégradation d’un élément en béton à travers les mesures de l’ultrason, l’allure des courbes force-flèche. Au terme des essais réalisés, nous pouvons dire : La variation des masses n’a pas été vraiment importante car nous n’avons pas eu de perte importante de masse. La masse n’est donc pas un moyen concret pour indiquer une dégradation dans le béton. Concernant l’essai de l’ultrason, les courbes force-flèches les résultats donnés restent des résultats préliminaires. Le fait d’avoir probablement un pourcentage d’humidité dans les éprouvettes peut réorienter complètement les mesures de l’ultrason car les cavités créés par flexion 3 points sont occupées par les particules d’eau, il y a aussi la notion du béton qui continue à durcir et à mieux résister dans le temps jusqu’à ce qu’il atteigne l’âge de quatre-vingt-dix jours, ce qui est le cas de quelques éprouvettes lors de l’essai du chargement. Nous avant aussi constater des dégradations plus importantes au niveau des éprouvettes affectées d’un chargement de 70% de Fmax. En fin des deux essais soit les mesures de l’ultrason et les courbes force-flèche nous avons remarqué l’apparition des dégradations dans les derniers cycles. Les résultats des expériences nous ont montré que finalement, il était très compliqué de mettre en place ce type d’essais dont l’aspect théorique amont paraissait pourtant assez simple.en
dc.identifier.citationStructureen
dc.identifier.otherMST/STRUCT87
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/4966
dc.language.isofren
dc.publisherUniversité Mouloud Mammeri Tizi Ouzouen
dc.subjectUltrasonen
dc.subjectCimenten
dc.subjectGranulaten
dc.titleAnalyse expérimentale de la dégradation d’un élément en Béton en serviceen
dc.typeThesisen

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Chibani Ferroudja; Haddoum Saida
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