Chauffage-eau thermodynamique à capteur aérosolaire

dc.contributor.authorSamet, Samir
dc.date.accessioned2019-06-02T12:54:20Z
dc.date.available2019-06-02T12:54:20Z
dc.date.issued2012
dc.description68 f. : ill. ; 30 cm. (+CD-Rom)en
dc.description.abstractL’énergie solaire est aujourd’hui arrivée à un stade où elle est plus facilement exploitable; elle est en outre inépuisable. Comme la plupart des énergies douces, elle donne à l’usager la possibilité de subvenir sans intermédiaire, à une partie de ses besoins énergétiques. Parmi toutes les utilisations possibles de l’énergie solaire, le chauffage de l’eau à usage domestique est l’une des plus économiques et des plus simples. C’est aussi l’une des plus répandues.Plusieurs systèmes ont été développés dans ce domaine ; parmi ces techniques, on trouve les pompes à chaleurs à capteur aérosolaire. Le travail présenté dans ce mémoire est une étude d’un chauffe-eau thermodynamique utilisant une pompe à chaleur à capteur aérosolaire, placé sous les conditions météorologiques de Tizi-Ouzou. L’étude théorique d’un tel système exige la connaissance du potentiel de l’irradiation solaire. Pour cela, nous avons commencé par la détermination de la valeur optimale de l’angle d’inclinaison du capteur solaire du système ; puis nous avons estimé théoriquement les irradiations incidentes arrivant sur le capteur en appliquant le modèle statistique de Lieu et Jordan (1960), partant des données météorologiques, et des données astronomiques de la région de Tizi-Ouzou. Pour estimer lasurface du capteur, nous avons procédé à l’évaluation des besoins en eau chaude sanitaire d’une famille moyenne algérienne (4 pour les familles actuelles), puis calculé la puissance calorifique nécessaire à la production et au stockage de cette quantité d’eau chaude. Nous avons trouvé que la surface minimale à installer pour couvrir ces besoins est de 6 m2 ; c’est le résultat trouvé en simulant le programme de calcul pour le mois le plus défavorable de l’année(Décembre). L’étude des performances de ce système de chauffe-eau solaire, a montré qu’elles dépendent essentiellement de deux paramètresprincipaux :le rayonnement solaire et la température ambiante.LeCOP moyen de la PAC solaire et le rendement du capteur pourraient atteindre 8 et 63.6 % respectivement en moyenne annuelle, ce qui est considérablement plus élevé que le système de pompe à chaleur classique. Les résultats présentés ici pour les chauffe-eaux sont très prometteurs pour la promotion de ce type de système, y compris pour un pays comme l’Algérie, qui n’est pas producteur à l’heure actuelle de telles machines et où l’énergie fossile est encore « trop bon marché ».en
dc.identifier.citationEnergétiqueen
dc.identifier.otherMST/ENRG27
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/3931
dc.language.isofren
dc.publisherUniversité Mouloud Mammeri Tizi-Ouzouen
dc.subjectCapteur aérosolaireen
dc.subjectChauffe-eauen
dc.titleChauffage-eau thermodynamique à capteur aérosolaireen
dc.typeThesisen

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