Département d’hydraulique

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Etude de faisabilité de la retenue collinaire Chaabet Thrid wilaya de Médéa
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Chekhar, Mira; Aourhoun, Dalila; Ait Yakoub, Ouzena
Sur la base des résultats des différentes études effectuées relativement à la faisabilité de la retenue collinaire « Chaabet Thrid » sis à Média, nous concluons : - Du point de vue topographique : l’étude révèle le choix du site de la retenue à été effectué d’abord sur la carte d’état-major, afin de localiser les axes de la digue sur l’endroit qui est représenté par des courbes de niveau resserrées sur la carte ; qui correspondent à la section la plus étroite du cours d’eau.ces Coordonnées (WGS84, UTM Zone 31N) sont comme suit ( X, Y, Z) = (484 456,3 980 700,619.7). La cote minimale de l’axe de la digue 617,51m et la Cote maximale de l’axe de la digue 673,22 - Du point de vue géologie : l’étude révèle que le terrain est constitué de marne brunâtre à concrétions carbonatées à présence de bloc de calcite recristallisé, et d’une couche de sable limoneux d’un mètre d’épaisseur en surface. - La région de MEDEA se situe en zone sismique II (RPA, 2003) - Du point de vue géotechnique: nous signalons que la formation marneuse présente une densité moyenne à élevée avec une teneur en eaux moyenne et l’état de sol détrempé. Elle est moyennement compressible. Quant à sa perméabilité elle est très faible. Les matériaux de construction sont relevés à proximité du site de la retenue. - Du point de vue d’étude de bassin versant : notre bassin versant a une superficie de 13.88 km² et un périmètre de 22.10 km avec une forme allongée et un relief très fort. - Du point de vue climatique : l’analyse des données du bassin versant de notre retenue nous a permis de définir deux périodes différentes :  une saison sèche avec un climat sec ou les mois les plus chauds sont les mois d'été, (Juin, Juillet, Août et Septembre) durant lesquels les températures moyennes dépassent les 20°C, avec un pourcentage des précipitations faible.  une saison froide, avec un climat humide tempéré à près de 70 % entre Novembre et Mars. - Du point de vue de des apports Notre bassin versant reçoit un volume des apports liquide égal à 0.66hm3, et un volume des apports solide égal à 5330m3. - Du point de vue des crues : Nous optons pour une période de retour de centennale, avec un volume de crue de 1 319 494 m3. - Du point de vue d’étude hydrotechnique : l’étude révèle que La digue de la retenue collinaire sur l’oued Chaabet Thrid est une digue dite homogène avec un drain vertical, constituée avec des marnes. - Evacuateur de crue latéral sera réalisé sur la rive droite. - La stabilité des talus de la digue est vérifiée pour les sollicitations normales. Les résultats obtenus par ce travail sont satisfaisant donc le site proposé pour la réalisation de cette retenue est favorable.
Raccordement en eau potable de la commune de Bounouh à partir de barrage Koudiet Acerdoune
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Benalia, Nacer; Bachiri, Sofiane
Au terme de cette étude qui nous a été proposé par la DHW de Tizi-Ouzou, nous avons essayé d’apporter une contribution à l’alimentation en eau potable de la commune de Bounouh à partir du barrage de koudiet Acerdoune, pour lequel on s’est appliqué à définir et analyser les différentes étapes afin de garantir la pérennité de la ressource et la satisfaction à court et à long terme des besoins exprimés. Cette étude nous a permis d’aborder tous les aspects technicoéconomiques d’une chaine d’adduction, et de dégager les résultats suivants : - L’estimation des besoins maximums en eau de consommation indique qu’un débit de 57 l/s sera nécessaire pour répondre aux besoins de la commune à l’horizon (2043). - Le choix du matériau des conduites s’est porté sur le PEHD, qui présente beaucoup d’avantages par rapport aux autres matériaux (non corrosif, de bonnes caractéristiques hydrauliques, flexible, disponible sur le marché…). - Le schéma directeur de la variante choisie montre la nécessité de réaliser pour le cas de l’adduction par refoulement : une conduite d’une longueur de 1500 ml en fonte ductile avec un diamètre de 250 mm du point de piquage jusqu'à la (SR1),une autre en PEHD d’une longueur de 1700 ml de la (SR1) jusqu'au réservoir (R2) avec un diamètre de 315 mm et une conduite en acier d’une longueur de 825 ml de la (SR2) jusqu'au réservoir de tête (R5) avec un diamètre de 200 mm. En ce qui concerne l’adduction gravitaire projetée, les conduites sont en PEHD avec une longueur de 7846 ml et des diamètres de ( 125 mm, 200 mm, 250 mm ). Le dimensionnement des conduites d’adduction (gravitaire et refoulement), a été fait sur la base des besoins maximums en eau de la population. - Vu l’importance de la chaine d’adduction, nous avons constaté qu’il est nécessaire de projeter huit réservoirs, Cinq d’entre eux sont de stockage, dont quatre seront jumelés aux réservoirs existants de capacités différentes (250 m3, 350 m3, 1000 m3) et un réservoir de tête (R5) projeté de capacité de 2000 m3. Deux réservoirs de transite de 500 m3 et de 350 m3 qui seront connectés aux stations de pompage projetées (SR1 et SR2) et un réservoir de transite et de stockage de 1000 m3. - Deux stations de reprise sont projetées, où chacune d’elle est équipée d’une seule pompe multicellulaire de marque ALSTHOM, la première de type 150 NM à 5 étages projetée à la (SR1) plus une de secours, et la deuxième de type 100 NM à 7 étages projetée à la (SR2) plus une de secours. Ces groupes électropompes étant dimensionnés pour un horizon de trente ans (2043). - Dans le but d’augmenter la durée de vie des conduites et d’assurer un bon fonctionnement, une protection de la conduite reliant la station de reprise (SR1) et le réservoir (R2) contre le coup de bélier, se fera à l’aide d’un réservoir d’air de volume de 1028 litres. Enfin, nous espérons que ce modeste travail servira dans l’étude du système d’alimentation en eau potable de la ville de Bounouh, et à ceux qui auraient à traiter des sujets similaires et leur sera utile pour mener au mieux leurs projets et qu’il pourra apporter un plus dans la réalisation du projet sur le terrain.
Raccordement en eau potable des villages Ben-Mendes et Beni-Kouffi à partir du barrage Koudiet Acerdoune
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Mammeri, Sofiane; Amrouchene, M'hand; Oughanem, Kahina
Lors de cette étude, nous avons essayé d’apporter une modeste contribution à l’alimentation en eau potable des villages de BENI-KOUFFI et BENI-MENDES; à partir d’un piquage réalisé sur la conduite de transfert des eaux du barrage Koudiet Acerdoune. Ce travail nous a permis d’aborder tous les aspects technico-économiques d’une chaine d’adduction et de dégager les résultats suivants : - L’estimation des besoins maximums en eau de consommation indique qu’un débit de 63,13 l/s sera suffisant pour répondre aux besoins de la population estimée à 21038 habitants à l’horizon 2035. - L’analyse des échantillons prélevés, a montré que l’eau du barrage Koudiet Acerdoune est de mauvaise qualité bactériologique, donc une désinfection est indispensable avant toute distribution. - Pour le dimensionnement des conduites d’adduction par refoulement, nous avons choisi les diamètres les plus économiques avec des vitesses adéquates. Le choix du matériau s’est porté sur le PEHD pour la totalité des conduites vu les avantages qu’il présente par rapport aux autres matériaux. - Vu l’insuffisance de stockage des réservoirs existants, il s’avérait impératif de réaliser deux (02) stations de reprises et (03) réservoirs, pour pouvoir stocker et transiter le volume d’eau demandé pour les différents horizons. Les capacités de ces réservoirs sont données comme suit: 1000 m3 pour R1 ; 1000 m3 pour R2 ; 1500 m3 pour R3. - La nature du relief et la disposition géographique des villages exige l’implantation des réservoirs aux points les plus hauts pour assurer la pression nécessaire et l’alimentation gravitaire afin d’éviter l’installation de plusieurs stations de pompages. - Pour le choix des pompes des stations de reprise, nous avons choisi à partir du catalogue des pompes multicellulaires de surfaces séries industrielles "Jeumont Schneider", les pompes suivantes : SR1 : Pompe 150 NM 12 à 10 étages + une de secours ; SR2 : Pompe 200 NM 11 à 06 étages + une de secours ; Ces groupes électro pompes sont dimensionnés pour l’horizon 2035.  Pour assurer la longévité des conduites et le bon fonctionnement des installations, un exemple de protection contre le coup de bélier ; de la conduite reliant la SR1 à la SR2 sera assuré par le biais d’un réservoir d’air de volume de 1.177 m3 ; Enfin, ce projet nous a permis de découvrir le monde professionnel par la réalisation d’une telle étude à partir des données réelles. Espérons que ce travail apportera un plus pour la réalisation du projet sur le terrain et va contribuer également au remède du maximum des problèmes rencontrés, souhaitons qu’il présentera aussi, un modèle clair, simple et un support important pour l’exécution des projets similaires.
Raccordement de la commune d'Assi-Youcef à la conduite de transfert à partir de barrage Koudiet Acerdoune
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Haddad, Dalila; Amroun, Hakima
Ce projet, proposé par la DHW de Tizi-Ouzou, consiste à une réalisation d’un réseau d’AEP pour la commune d’Assi-Youcef, au biais d’un piquage de la conduite de transfert à partir de barrage Koudiet Acerdoune, et cela nous a permis d’aboutir aux résultats suivants :  Les besoins en eau de notre région d’étude qui présente une population de 39504 habitants à long terme (horizon 2044) sont estimés à 109,453 l/s. Vu que la région présente quatre sources qui lui fournissent un débit de l’ordre de 7,2 l/s en période d’étiage, donc le débit à relever à partir du piquage n’est que de l’ordre de 102,253 l/s.  Dans le but d’une concrétisation de notre étude, nous avons pris en considération les deux volets technique et économique et cela se manifeste dans le choix des matériaux, équipements, tracé…etc.  Vu l’agressivité des sols de notre étude ainsi que les dénivelées importantes qui engendrent des pressions importantes dans les conduites, nous avons préconisé l’utilisation des conduites en PEHD (Polyéthylène de haute densité) pour les avantages qu’ils présentent tel que : la résistance à la corrosion, flexibilité, durée de vie assez longue, élasticité…etc.  La longueur totale de la conduite est de 9720m, avec les diamètres suivants : DN400 à PN16, DN500 à PN 20, DN500 à PN20, DN250 à PN20 DN200 à PN10.  Vu que notre région d’étude s’alimente actuellement des sources situées dans la montagne donc tous les réservoirs existants se situent en hauteur, d’où la nécessité de projeter cinq (05) réservoirs, dont un est jumelé à celui existant à Thabourth El Ancer.  Le choix des pompes à été fait comme suite : 1) Pour la SRI : une seule pompe multicellulaire identiques de type NMB 8 à six (06) étage, plus une de secoure, pour relever un débit Q= 525,378 m3/h à une hauteur Hmt =203,911 m, c’est-à-dire élévation de la SRI projetée vers le réservoir de transite RII. 2) Pour la SRII : une seule pompe multicellulaire identiques de type NMB 8 à six (06) étage, plus une de secoure, pour relever un débit Q= 525,378 m3/h à une hauteur Hmt =209,950 m, c’est-à-dire élévation de la SRII projetée vers le réservoir de transite RIII projeté à Thabourth El Ancer. 3) Pour la SRIII : une seule pompe multicellulaire identiques de type 100 NM à trois (03) étage, plus une de secoure, pour relever un débit Q=129,6 m3/h à une hauteur Hmt =124,42 m, c’est-à-dire élévation de la SRIII projetée vers le réservoir de transit RV à Ait El Kacem.  Dans le cas de SRI, SRII et SRIII Réduction du temps de pompage, constitue la solution la plus rentable.  La protection contre le coup de bélier de la conduite reliant la SRII au réservoir RIII, se fera au moyen d’un réservoir d’air d’un volume de 1798 l. En fin, nous espérons que ce modeste travail sera un appui pour les générations futures et pour sa réalisation sur le terrain
Bilan hydrologique du bassin versant de l'Oued Sebaou
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Hamad, Karima
Au terme de cette étude, nous avons mis en évidence, à travers l’étude du complexe bassin versant, la forme allongée du bassin versant, caractérisé son relief de type (fort de classe R7) et la densité de son réseau hydrographique. A l’échelle du bassin versant, la pluviométrique moyenne estimée par les méthodes Arithmétique, Thiessen et des isohyètes à 842.7mm est assez conséquente. La désignation de stations pluviométriques représentatives pour le bassin versant nous a permis de faciliter son étude .Celle-ci illustre son augmentation avec deux gradients, l’un étant défini par les stations qui subissent une influence du littoral (Gr= 46,4 mm/100m), l’autre de (Gr= 45,1 mm/100m) caractérise les stations intérieures du flanc nord du Djurdjura. L’étude statistique des séries observées au niveau des stations représentatives montre une irrégularité à l’échelle saisonnière. Leur ajustement à la loi Normale de L.Gauss avec Le logiciel (HYFRAN) nous a permis de déterminer leurs différentes périodes de retour et les leurs fréquences au non dépassement. Les données de la température, facteur important dans le bilan hydrologique, aussi bien anciennes(P.Seltzer) que récentes (O.N.M) ne soulignent pas des écarts notables ;si bien que celles –ci ont été utilisées pour palier à la carence des données récentes. Les paramètres, pluviométrie et température étant cernés, nous avons procédé au calcul du bilan hydrologique selon C.W .Thornthwaite (pour une réserve utile de 100mm et 130 mm), en ayant au préalable déterminé les indices d’insolation et les facteurs de correction de l’évapotranspiration potentielle. Les résultats obtenus montrent une décroissance de l’E.T.R de l’Ouest vers l’Est, à l’opposée de l’accroissement de la pluviométrie (confortée par les résultas des méthodes empiriques de L.Turc, A.Coutange et P.Wundt) et un excédent (R+I) qui augmente dans le même sens que la pluviométrie. Matérialisés sur les graphiques, ces déficits d’écoulement s’identifient aux périodes de hautes et de basses eaux. De part ces résultats, nous estimons que notre contribution constitue une base de travail pour de futurs projets de type : Estimation des ressources en Eau ou Gestion et aménagement des Bassins Versants.
Etude de renforcement de la chaîne d'alimentation en eau potable de la commune d'ait toudert à partir des forages d'Ouacif
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Ouhadj, Lamia; Aberkane, Kahina
Dans notre étude qui interprète la conception d’un système d’adduction, pour l’approvisionnement en eau potable de la communes d’Ait Toudert, nous avons été guidé par des impératifs techniques, aux quels doivent répondre les divers installations tout en ayant vu les considérations techniques et économiques du projet pour assurer sa durabilité ou sa résistance. L’étude des différentes catégories des besoins en eau est basée sur les dotations qui sont fixées selon le plan de développement national (PDAU, 2008), faisant l’objet de l’estimation en eau de la population. L’évolution des besoins des équipements publics et les besoins industriels dans les différents horizons, sont estimé par rapport aux besoins domestiques. Puisque le but de notre projet étant le renforcement d’alimentation en eau potable de la commune d’Ait Toudert, nous avons procédé à la détermination de la dotation réelle, afin d’illustrer le déficit des besoins et de combler avec une dotation complémentaire. Ainsi, nous avons utilisé les volumes facturés de la dernière année écoulée ; de manière à déterminer le débit maximum journalier à horizon 2043; c’est celui qui est retenue pour dimensionner le réseau d’adduction et les capacités des réservoirs. Pour satisfaire l’ensemble des besoins en eau potable des villages d’Ait Toudert, nous proposons une chaine d’adduction complémentaire alimentée à partir des forages implantés sur la nappe « Ouacif Larbâa ». Le nombre de forage nécessaires pour couvrir le déficit en eau estimé à 24, 70 l/s est de trois, Les forges seront réalisés avec un rayon d’action de 120m. Concernant la qualité de cette eau, les paramètres physico-chimiques obtenus à partir des analyses de l’eau des forages répondent bien aux normes de consommation arrêtées par l’OMS. Par contre, les paramètres bactériologiques sont de mauvaise qualité ; d’où la nécessité d’une désinfection avant toute distribution, pour une destruction ou inactivation de ces germes pathogènes. Par conséquent, on peut procéder soit par chlore ou ses dérivés, ou par l’Ozone (voie chimique), ou bien par le chlore actif ou les rayonnements absorbants (voie physique). La désinfection par le Chlore est plus répandue. Elle consiste à maintenir un taux de chlore résiduel libre compris entre 0.2 et 0.4mg/l. Le dimensionnement des conduites d’adduction (refoulement, gravitaire), à été fait sur la base des besoins maximums en eau de la population ; c’elle ci nous permet de calcul les diamètres économique nécessaire avec des frais minimum. Pour la réussite totale du projet, la pose des conduites ne doit subir aucune défaillance, la bonne mise en oeuvre du réseau sa diffère selon le tracé, l’importance du réseau, la nature du sol, cet ensemble de critères du cite doit être respecter. Le problème de corrosion éliminé d’une manière significative, par le choix d’un nouveau matériau qui est le tube polyéthylène à haute adhérence (PEHD) qui représente le meilleur matériau pouvant être préconisé pour les conduites d’adduction car il présente une meilleure résistance à la corrosion. Vue l’importance de stockage des réservoirs existant, il s’avère impératif de projeté deux réservoirs ; un réservoir de transit R1 de capacité 400 m3, et un autre réservoir R2 dans la zone d’étude Tourirt de capacité 800m3 qui sera jumelé avec le réservoir existant de capacité100m3. Pour les pompes: Nous avons choisie pour Les forages d’Ouacif refoulant vers le réservoir de transite R1, trois pompes verticales, une pompe immergée dans chaque forage de type MS6000 de trois étage plus une de secoure, pour relevé un débit total de 24.7l/s. Pour la station de reprise nous avons choisie une pompe multicellulaire "Jeumont Schneider" pour relevé un débit total de 24.7l/s avec une hauteur de 172.29m, plus une autre de secours. Enfin, Pour que la conduite reliant les forages et le réservoir de transit soit protégée sur toute sa longueur, que se soit dans le sens (SR, conduite) par une surpression ou dans le sens contraire par une dépression, il devient nécessaire de l’équiper d’un réservoir (eau + air comprimé) d’un volume total 1.878 m3 avec un volume d’air en fonctionnement normal, U0 = 1.221m3.
Raccordement en eau potable des villages de Boumahni commune d'Ain Zaouia à partir du barrage Koudiet Acerdoune
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Seggar, Ouardia; Ifrek, Samira
Au terme de cette étude, nous avons essayé d’apporter une modeste contribution à l’alimentation en eau potable des quatorze villages de Boumahni commune d’Ain Zaouïa. Ce travail nous a permis d’aborder tous les aspects technico-économiques d’une chaîne d’adduction et de dégager les résultats suivants : L’évaluation des besoins maximums en eau potable des quatorze villages de Boumahni indique un débit de 43.75 l/s à l’horizon 2043. Ce débit sera comblé par un renforcement à partir d’un piquage sur la conduite de transfert des eaux du barrage Koudiet Acerdoune vers le flanc sud de la wilaya de Tizi Ouzou. Les eaux du barrage, sont de bonne qualité minéralogique et de mauvaise qualité bactériologique, ce qui nécessite une désinfection au niveau de la station de traitement du barrage. Le choix du matériau des conduites s’est porté sur le PEHD, qui présente beaucoup d’avantages (non corrosif, de bonnes caractéristiques hydrauliques, flexible, disponible sur le marché…) par rapport aux matériaux traditionnels. Le dimensionnement des conduites d’adduction (refoulement et gravitaire) a été fait sur la base des besoins maximums en eau de la population avec les diamètres les plus économiques et à des vitesses adéquates. Vu l’insuffisance de stockage des réservoirs existants, il s’avérait impératif de projeter : - Un réservoir de 800 m3 sera associé à la station de pompage projetée ; - Un réservoir de transit de 1200 m3 ; - Trois réservoirs de capacités différentes ( 1300m3, 100 m3 , 100 m3), situés à la même côte que ceux existants. Une station de reprise SR projetée à la côte 470 m NGA, sera équipée de deux pompes multicellulaires (l’une de service et l’autre de secours) de marque Jeumont Schneider type100 NM à trois étages pour relever un débit de 198 m3/h à une Hmt de 131,77 m. La protection de la conduite reliant la SR projetée au réservoir 500 m3 de Boumahni, se fera à l’aide d’un réservoir d’air de volume 450 l. Enfin, nous espérons que ce modeste travail apportera un plus pour la réalisation du projet sur terrain et sera mis à la disposition de tous ceux qui auraient à traiter des sujets similaires.
Etude d’aménagement en axe autoroutier de la RN12 en (2×3) voies sur un linéaire de 5km du PK 9+000 (TAMDA) au pk 14+000 (CHAIB)
(Université Mouloud Mammeri Tizi Ouzou, 2013) Nacef, Abdelouahab; Sadi Oufella, Missipsa
Ce projet de fin d’études a été, pour nous, une opportunité pour concrétiser nos connaissances théoriques et techniques acquises pendant notre cycle de formation à l’Université Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou. Nous avons appliqué rigoureusement toutes les normes, directives et recommandations liées au domaine routier pour contrecarrer les contraintes rencontrées sur le terrain. Par ailleurs, le souci primordial ayant guidé notre modeste travail a été dans un premier temps la prise en considération du confort et de la sécurité des usagers de la route et dans un second temps l’économie et l’aspect environnemental lié à l’impact de la réalisation de cette route. Notre étude d’aménagement en axe autoroutier de la RN12 en phase APD, présente les données liées à l’étude du trafic concernant la zone d’étude, en employant ces données, tout en respectant le règlement algérien (B40), on a abouti aux caractéristiques suivantes : • Un accotement de 2×3 m=6m • Un Terre-plein central 3 m • Deux chaussées de trois voies de 3.5m chacune (3 x 3.5) x 2 = 21.00m Ce qui fait que la largeur de la plate-forme soit égale à 30m. L’élaboration de ce projet nous a aidés à mieux maîtriser l’outil informatique en l’occurrence les logiciels PISTE+5 et Autocad (version 2007), Excel, compte tenu de leur traitement rapide et exact des données, ces outils nous permettent d’éviter les contraintes existantes avec une détermination d’un meilleur tracé. Aussi, on a utilisé le logiciel ALIZE qui nous a permis de vérifier les épaisseurs des différentes couches constituants le corps de chaussée Couche de roulement 08cm en BB Couche de base 14 cm en GB Couche de fondation 15 cm en GC Couche de forme 40 cm en TUF Enfin, par la réalisation de cet aménagement, la RN 12 ne sera plus un corridor de congestion encore moins une infrastructure moins sécurisée pour les usagers. Cependant celle contribuera à une fluidité des échanges entre toutes les localités qu’elle liaisonne.
Etude et conception d'une variante de barrage sur l'oued Bougdoura près de Souk Tleta
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Chitti, Boudjemaa; Demdoum, Hakim
Dans le cadre de la préparation du mémoire de fin d’étude, nous avons essayé de traiter et d’étudier la faisabilité d’un barrage sur l’oued Bougdoura dans la wilaya de Tizi Ouzou qui est destiné à l’AEP et AEI. La fiabilité d’un ouvrage hydraulique dépend essentiellement de sa conception, de l’information et de la qualité de l’information ainsi que de la puissance des méthodes de dimensionnement des ouvrages en question. On a procédé en premier lieu à l’élaboration d’une étude géologique et géotechnique comprenant l’étude de la fondation du site, de la cuvette et de la disponibilité des matériaux de construction L’élaboration de l’étude hydrologique a posé un problème vu le manque d’informations hydrologiques. En fonction des différents paramètres entrant dans la conception des ouvrages de retenue, plusieurs variantes ont été proposées dont la variante de digue en matériaux locaux homogènes qui a été la plus probable vu les conditions de son établissement. Finalement, il est utile de noter que l’élaboration d’une telle étude nécessite des connaissances bien approfondies dans tous les domaines qui touchent l’hydraulique. De plus La disponibilité de l’information aurait rendue l’étude beaucoup plus simple et les résultats obtenus bien plus fiables notamment l’étude hydrologique. Toutefois, nous espérons que cette présente étude fruit de toute une formation soit un travail de base qui est sujet à réflexion et amélioration afin qu’il soit bénéfique.
Schéma directeur d'assainissement de la vallée des jardins
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2013) Ziani, Mohamed; Ouddane, Ahmed; Takharbouchte, Abderrahmane
Cette étude nous a permis d’analyser la situation de la vallée des jardins et le réseau d’eau pluviale existant, d’extraire les problèmes posés et de d’ébaucher les solutions adéquates, au stade de l’avant-projet sommaire. Ce travail de fin d’étude a permis de déterminer les différents aménagements à mettre en oeuvre grâce a une succession de taches liées entre elles, en passant par une étude hydrologique, une étude hydraulique et enfin une étude génie civil pour la variante choisie. Malheureusement la modélisation hydraulique en régime transitoire n’a pas pu être finalisée, ce qui a finalement été conduite en régime permanent, car pour faire une simulation sous régime non permanent, il faut avoir un MNT très précis par rapport à notre réseau hydraulique qu’on veut modéliser. La vallée des jardins serait noyée avec une hauteur d’eau considérable lors du passage de la crue vingtinale, et étendue sur une grande surface. Le tunnel hydraulique est la seule solution pour protéger cette région contre les inondations. Enfin ,on peut dire que ce mémoire de fin d’étude nous a permis d’acquérir une bonne expérience dans la caractérisation et la gestion du risque d’inondation.
Alimentation en eau potable des huit centres de commune d'EL Ach à partir du forage d'El Medjez
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Ait Oufella, Hocine; Ben Messaoud, Cherif; Kanane, Mohamed
Notre étude qui porte sur la contribution à l’amélioration de la chaîne d’alimentation en eau potable de la Commune d’el ach, a aboutie aux conclusions suivantes :  La ressource tirée à partir du forage d’el medjez est de 35 l/s, couvre les différents besoins de la population estimée à 28,223 l/s.  En termes d’adduction, nous avons préconisé du PEHD pour les conduites de refoulement, et les conduites gravitaires vu les précieux avantages qu’il présente. La majorité des centres présentent une insuffisance dans leurs capacités, pour cela nous avons projetés trois réservoirs : - Un réservoir de tête de 1500m3 sur les hauteurs de tihammamine pour alimenter l’ensemble du centre. - Un réservoir de 300m3 à tihammamine pour alimenter tihammamine et brahmia. - Un réservoir de 500m3 sur les hauteurs d’ouled ahmed pour alimenter les centres de boumeriouane, el merdja ,el messrah et touama. - Le réservoir existant de 100m3 alimentera le centre de ouled ahmed. - Le réservoir existant de 200m3 de ouled hama alimentera ce dernier. Pour le choix des pompes, nous avons utilisé le catalogue de Jument Schneider ce qui nous a donné les résultats ci-dessous : - Au niveau du forage : une pompe immergée de type SP95 à sept étages plus une de secours ; - SR1 : une pompe multicellulaire de type 80NM à cinq étages plus une de secours ; - SR2 : une pompe multicellulaire de type 80NM à six étages plus une de secours ; - SR3 : une pompe multicellulaire de type 80NM à six étages plus une de secours ; Pour palier au phénomène du coup de bélier, nous avons dimensionné un réservoir d’air de volume 1450 l pour la conduite gravitaire reliant le noeud2 et le réservoir d’ouled hama. Enfin nous espérons que notre travail pourra contribuer à la réalisation de ce projet et servir d’aide pour les prochaines promotions.
Etude De la déviation de la ville d’Ouadhia sur 6.04 « Phase APD »
(Université Mouloud Mammeri Tizi Ouzou, 2014) Boughrara, Nabil
Notre projet de fin d’étude intitulé « la déviation de la RN30 qui passe par la ville d’OUADHIA sur un linéaire de 6,04 km » en créant une nouvelle route qui supporterait le trafic courant et futur, la route actuelle connait une surcharge de véhicules tout au long de l’année pour l’importance qu’elle représente sur le point géographique et socio-économique. Au cours de la conception de l’axe de mon tracé, nous avons fait en sorte à respecter les normes tout en prenant en considération le confort, la sécurité des usagers et l’aspect économique. Nous avons pu accomplir ce travail en avant projet détaillé, on accordant aux données suivantes :  Le levé topographique.  La carte d’état major de la région « OUADHIA ».  Le taux d’accroissement annuel du trafic noté 􀀁 = 4%.  La vitesse de base sur le tracé VB=60 km/h  Le pourcentage de poids lourds Z= 14%  L’année de mise en service 2015  La durée de vie estimée de 20ans  Catégorie C2  L’environnement E2  L’indice CBR moyen I= 5 Apres la récolte des données et des recherches approfondies, un travail acharné, laborieux et soigneux nous a permis d’aboutir aux résultats suivants :  Une route de 1×2 voies  Un axe de longueur égale à 6037m  Un dimensionnement transversal de 10 m constitué de :  1×2 voies de 3.5m chacune.  Accotement ou bande d’arrêt d’urgence de 2×1.5m  Après le dimensionnement du corps de la chaussé j’ai obtenu avec la méthode du catalogue les couches suivantes :  Couche de roulement de 6 cm de BB.  Couche de base de 15 cm de GB.  Couche de fondation de 35 cm de GNT.  Couche de forme de 40 cm de TUF  L’étude hydraulique a donné :  Des fossés trapézoïdaux de largeur 0.5m et de hauteur 0.4m  Trois dalots de dimensionnement suivant :  Le premier 2m×1m  Le deuxième 2m×3m  Le troisième 2m×2m  Une buse de φ = 1,2m Au fur et à mesure de l’avancement de notre travail, nous avons appris à bien cerner les problèmes techniques qu’ont peut rencontrer dans un projet routier, et essayer de trouver des solutions adéquates et économiques qui peuvent servir à régler ce genre de problèmes. Ce projet a été pour nous une occasion de mettre en application les connaissances théoriques acquises pendant notre cycle de formation, et profiter de l’expérience des personnes du domaine ainsi qu’à l’apprentissage et la maitrise de l’outil informatique en l’occurrence les logiciels : Piste+5, AUTOcad et ALIZÉIII.
Analyse non linéaire d'un bâtiment surmonté d'un réservoir sous l'effet hydrodynamique
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Ziani, Lounes; Hamitouche, Lounes
Ce travail s’inscrit clairement dans un environnement pratique de la profession d’expert où plusieurs aspects ont été traités. A commencer par une description de l’ouvrage puis une modélisation en éléments finis et enfin un programme de réhabilitation tout en faisant des visites régulières sur site pour pouvoir constater les dégâts et désordres causés par le séisme et recueillir des données utiles pour notre démarche. Nous nous somme attaqué à un ouvrage très complexe par le fait qu’il joue une double fonction (habitation et stockage d’eau potable) et aussi du point de vue comportement et d’ailleurs nous l’avons bien vérifié au chapitre V où l’ouvrage a été assimilé à une masse concentrée(le réservoir) reposant sur un support de masse non négligeable et d’une section transversale constante(bâtiment). En comparaison entre les deux cas ou le réservoir été plein ou vide nous avons démontré l’importance d’une étude hydrodynamique pour ce genre d’ouvrage puisque la variation des contrainte constaté au niveau du noyau central qui reprend 64,5% du poids du réservoir atteint les 17%. Tenant compte de nos résultats et l’endommagement du noyau central constaté sur le terrain, des actions de réhabilitation de l’ouvrage été plus que nécessaire, c’est se que nous avons vu au chapitre VI où nous avons proposé et étudier des solutions pour pouvoir à la fois réparé les endommagements constaté, renforcer l’ouvrage pour augmenter sa rigidité et rehausser sa sécurité vis-à-vis d’une action sismique future tout en choisissant la solution la plus économique et qui nous donne des résultats appréciable. Tout au long de notre travail, nous avons été contraints par un manque de documentation et réglé de calcul car le RPA 99v2003 ne postule aucun article qui traite directement un cas similaire à notre ouvrage, on a été alors a chaque fois dans l’obligation de faire des approche et utiliser a la fois deux règlement en l’occurrence le RPA et le BAEL pour la partie bâtiment et les Annales de l’institue technique du bâtiment et des travaux publics et l’EUROCODE 8 pour la partie réservoir. A la fin, la création d’un règlement spécifique aux ouvrages hydraulique propre à l’Algérie est une nécessité pour facilité le travail des ingénieurs et master en génie civil et en hydraulique. Enfin nous espérons que notre travail soit utile et bénéfique pour les promotions à venir.
Etude de la chaîne d’alimentation en eau potable de la nouvelle ville d’El Ménéaa (Wilaya de Ghardaïa)
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Messara, Amazigh; Nait Ali, Karim
L’étude d’approvisionnement en eau potable de la nouvelle ville d’El Meneaa de la wilaya de Ghardaïa est effectuée à l’horizon 2046 pour une population qui s’élève à 18 084 habitants. L’importance des besoins en eau (Q=8815,16m3/j) est évaluer après calcul des besoins, cette eau est puisée à partir des deux forages qui alimentent notre zone d’étude avec un débit de 60 l/s chacun, les sites de stockages qui sont au nombre de deux, positionner à la périphérie de la ville du coté Ouest et ils sont dimensionné selon les besoins en eau estimé précédemment, on aura pour chaque site un réservoir posé au sol de 1500m3 et un autre surélevé de 750m3 qui sera utilisé pour la mise en charge du réseau. Les conduites d’adductions, sont en PEHD (Poly Ethylène Haute Densité) de diamètre 315mm, la protection de ces conduites contre le coup de bélier est vérifié et vu la Hmt faible de notre tracé nous n’aurons pas besoin de prévoir de protection contre le bélier, par contre nous allons prévoir une protection des conduit par un revêtement spécial contre la corrosion, par ailleurs le long de ce réseau d’adduction sont place des ventouses a chaque point haut pour évacuer les bulles d’air et des vidange au niveau des point bas. Nous avons utilisé le logiciel de modélisation EPANET© pour déterminer les pressions aux nœuds, les vitesses dans les conduites. dans le but de bien dimensionner notre réseau et assuré un bon fonctionnement dans le temps.
Dimensionnement d’une station d’épuration. Sise à Azazga
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Rihane, Mouloud; Seddour, Djamila
Notre mémoire de fin d’étude, a pour but de mettre en place un dispositif de traitement pour l’épuration des eaux usées de la ville d’Azazga. Dans le cadre de cette étude, nous avons traité deux volets de la méthodologie de conception d’une station d’épuration à savoir : · une partie hydraulique Dans cette partie nous avons traité l’aspect traitement des eaux en présentant les différents procédés d’épuration et en choisissant la variante des boues activées à moyenne charges. · Une partie génie civil. Dans cette partie nous avons traités l’aspect calcul béton armé et vérification des sections. La durabilité de la station projetée dépend de la bonne gestion et exploitation de celle-ci, ainsi nous avons présenté quelques recommandations par rapport à cet aspect. Enfin nous pouvons conclure que nous avons mis en pratique les connaissances acquises lors de notre formation et surtout pris conscience de l’aspect pratique et pluridisciplinaire (chimie des eaux, écoulement, biologie, béton….) de ce genre d’ouvrage.
Etude d'une alimentation en eau potable du chef lieu d'ouacif
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Khider, Nacera; Mehenni, Tassadit; Guici, Rezika
Nous avons, à travers cette étude, essayé d’apporter une contribution au projet du renforcement de l’adduction en eau potable du chef lieu de la commune d’Ouacif. Ce travail a permis de dégager les résultats suivants : L’estimation des besoins en eau de consommation indique que le débit de 25.56 l/s sera nécessaire pour répondre aux besoins du chef lieu d’Ouacif à long terme (2043). Ce débit comparé à l’apport de l’ancienne chaîne d’adduction à partir des trois forages (F2, ET3 et ET4) dégage un déficit de « 27 l/s ». Ce manque d’eau sera comblé par un renforcement à partir du forage projeté (ET1 bis) implanté sur la rive droite de l’oued « Assif Larbaa ». L’eau des forages qui alimentent le chef-lieu Ouacifs est de bonne qualité physicochimique et bactériologique. La simulation hydraulique nous a permis de mettre dans un temps moyennement cours plusieurs scénarios et schémas hydrauliques. Notre choix est fait sur la base des résultats discutés dans le chapitre de simulation notamment en ce qui concerne le choix des matériaux et infrastructures, tout en prenant en considération l’aspect du cycle de vie de ces derniers. D’après les résultats trouvés la pression de l’eau au niveau des « noeuds demande » ne dépasse pas les « 05 barres ». Cependant, la vitesse de l’écoulement au niveau des conduites varie, dans la plupart des cas, entre « 0.5 et 1.5 m/s ». Par ailleurs, nous avons jugé nécessaire de mettre une vanne de régulation de débit d’une grandeur de « 8.0 l /s », afin d’équilibrer le système alimentant le réservoir de la gendarmerie sans passer par un nouveau réseau. Le choix du type des conduites s’est porté sur le PEHD qui présente beaucoup d’avantages par rapport aux autres matériaux (non corrosif, flexible, disponible sur le marché, longévité…etc.). L’étude du rayon d’action d’un forage de la zone étudiée nous à révélé qu’il est indispensable d’espacer les forages d’au moins 426 m pour qu’il n’y’ait pas de chevauchement des lignes piézométriques lors du pompage. L’infrastructure de stockage de l’eau entraîne la construction de trois réservoirs d’une capacité totale de « 400 m3 » dont l’objectif est d’assurer l’alimentation gravitaire des réservoirs suivants : réservoir de tête, réservoir Mehadi et réservoir Gendarmerie. Pour le choix des pompes, nous avons opté pour : Concernant notre projet, nous projetons trois pompes immergées identiques dans chaque forage de type SP30 avec trois autres, de secours, pour une hauteur total Hmt=152.6 m et un débit de Q= 36 m³/h pour chaque pompe. Quant à la station de reprise, nous avons choisie une pompe multicellulaire de type 50NM à 5 étage refoule à une hauteur total Hmt= 128.29 m et un débit de Q = 48.6 m³/h ; avec une de secours. Néanmoins dans tous les cas, la réduction du temps de pompage constituent la solutions la plus rentable et économique. Pour que la conduite reliant la station de pompage et le réservoir de EL HAMMAM soit protégée sur toute sa longueur ; que se soit dans le sens (réservoir, conduite) d’une surpression et dans le sens contraire d’une dépression, il est nécessaire de l’équiper d’un réservoir (eau + air comprimé) d’un volume total 0,607m3 avec un volume d’air en fonctionnement normal U0 =0,526 m3. En fin, nous espérons que ce modeste travail pourra apporter un plus dans la réalisation du projet sur le terrain.
Etude de renforcement de la chaîne d'alimentation en eau potable de la zone sud est de la wilaya de Boumerdes
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Ammar, Malik; Sadi, Massinissa
La politique du développement du secteur hydraulique, telle qu’elle a été menée à ce jour, n’a pas donné les résultats escomptés malgré les gros investissements engagés dans cette voie. A cet effet, plusieurs régions d’Algérie souffrent d’une insuffisance dans l’approvisionnement en eau potable, entre autres la zone Sud-Est de la wilaya de Boumerdès. Cette région est alimentée à partir des systèmes d’AEP SPET et Forages. C’est ainsi que nous proposons, dans le cadre de ce travail, l’étude du système d’alimentation en eau potable de cette zone Sud-Est de la wilaya de Boumerdès, pour améliorer son approvisionnement en eau potable, et ce en puisant de la ressource de la station de dessalement de Cape Djinnet. Ainsi, notre travail sera reparti comme suit : Le premier chapitre sera consacré à la présentation de la zone d’étude ; à savoir le contexte géographique, géologique, topographique, climatique et enfin le contexte hydrographique. Le deuxième chapitre est dédié à l’estimation des besoins en eau de region en question, pour l’évaluation de la consommation moyenne journalière de la zone d’étude à long terme. Le troisième chapitre est consacré à l’inventaire des ressources en eau existantes, afin de définir la ressource à mobiliser. L’analyse de la qualité de cette eau ferra également l’objet de l’étude. Le quatrième chapitre fera l’objet de l’étude du schéma d’adduction adéquat, pour notre projet d’alimentation. Le cinquième chapitre traitera de la pose et protection des conduites ainsi que des différents équipements accessoires utilisés. Le sixième chapitre fera l’objet de l’étude des réservoirs à projeter, pour déterminer leur capacité. Le septième chapitre sera consacré à l’étude et choix des pompes, pour permettre l’acheminement de l’eau du champ de captage vers le réservoir de tête. Enfin le huitième et dernier chapitre sera dédié à la protection des conduites contre le coup de bélier, afin d’augmenter la durée de vie de nos installation et d’assurer un bon fonctionnement de ces dernières.
Raccordement des villages de la commune d’Agouni gueghrane au transfert des eaux à partir du barrage Koudiet Acerdoune de Bouira
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Mahmoudi, Youcef; Nazi, Karima
Au terme de cette étude, proposée par la DHW de TIZI-OUZOU, qui consiste à un raccordement à l’alimentation en eau potable des villages d’Agouni gueghrane commune des Ouadhias, nous avons voulu définir et analyser les différentes étapes afin de garantir la pérennité de la ressource et la satisfaction, à court et à long terme, des besoins exprimés. Ce travail nous a permis d’aborder tous les aspects technico-économiques d’une chaîne d’adduction et de dégager les résultats suivants : L’estimation des besoins maximums en eau de consommation indique qu’un débit 50,75 l/ sexploité à partir d’un piquage sur la conduite principale qui achemine l’eau du barrage Koudiet Acerdoune vers le flanc sud de la wilaya de Tizi-Ouzou ; est suffisant pour satisfaire les besoin d’une population de 14825 habitantsà l’horizon 2044. Les eaux du barrage, sont de bonne qualité minéralogique et de mauvaise qualité bactériologique, ce qui nécessite une désinfection avant toute distribution. Le choix du matériau des conduites s’est porté sur le PEHD pour la totalité des conduite vu les avantages qu’il présente (non corrosif, de bonnes caractéristiques hydrauliques, flexibles, disponibles sur le marché…) par rapport aux autres matériaux traditionnels. Le schéma directeur de la variante choisie montre la nécessité de réaliser pour le cas de l’adduction par refoulement : une conduite d’une longueur de 1075 ml avec un diamètre de 250 mm reliant la SR1et la SR2 projetées, une autre conduite d’une longueur de 467 ml avec un diamètre même. Pour l’adduction gravitaire, les conduites sont toujours en PEHD d’une longueur de 5150 mlavec un diamètre de 315 mm Vu l’insuffisance de stockage des réservoirs existants, il s’avérait impératif de projeter : - Un réservoir de 700 m3 sera associé à chaque station de pompage projetée ; - Un réservoir de tête de capacité 1750 m3, qui sera jumelé à celui existant. Deux stations de reprise SR1 et SR2 projetées seront équipées de trois pompes multicellulaires chacune (deux de service et l’autre de secours) de marque Jeumont Schneider. - SR1 : Pompe 150 NM à six étages pour relever un débit de 219,27 m3/h à une Hmt 219,42m; - SR2 : Pompe 150 NM à trois étages pour relever un même débit à une Hmt 94,83m. - Pour assurer la longévité
Raccordement en eau potable de la commune de Tzi n'Tleta à partir du barrage Koudiet Acerdoune
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Adjaz, Djedjiga; Ikour, Kaci
Au terme de cette étude qui nous a été proposé par la DHW de Tizi-Ouzou, nous avons essayé d’apporter une contribution à l’alimentation en eau potable de la commune de Tizi N’tleta à partir du transfère venant du barrage koudiet Acerdoune , elle nous a permis d’aborder tous les aspects technico-économiques d’une chaine d’adduction . Cette étude d’approvisionnement en eau potable est faite pour l’horizon 2044 , dont la population de la région d’étude atteindra 24037 habitants . L’importance des besoins en eau estimés pour la commune TNT ,a donné la nécessité de prévoir un transfert un 83.88 l/s ou 5887.313 m3/j . Le choix du matériau des conduites s’est porté sur le PEHD pour les avantages qu’il présente (non corrosif, de bonnes caractéristique hydraulique, flexibles disponible sur le marché …) En ce qui concerne l’adduction du transfert, celles d’adduction par refoulement, nous avons préconisé de réhabiliter toutes ces anciennes conduites en acier qui ne répondent plus aux critères économiques et de corrosives, par d’autre neuves en PEHD ayant de nouveaux diamètres. Les ouvrages de stockage sont dimensionnés selon les besoins en eau estimés, pour cela nous avons constaté qu’il est nécessaire de projeter dix (10) réservoirs. Pour le choix des pompes nous avons étuliser le l’ogiciel (Caprari) est nous a opté : - De point de picage vers cheif lieu de Tizi N’Tleta (SR1) : PM 125 / 2 C - De cheif lieu de Tizi N’Tleta (SR1) vers Ighil Imoula : PM 100 / 10 B - De la station de refoulement (SR2) vers Maghzelmal : PM 100 / 11 A -De la station de refoulement (SR2) vers (SR3) : PM 125 / 5 A - De la station de refoulement (SR3) vers Thizi Tighilt le : PM 125 / 8 A La protection des conduites contre le coup de bélier se fera à l’aide d’un réservoir d’air de volume 0,27982 m3. Nous tenons à exprimer notre souhait que ce modeste travail puisse apporter à la réalisation de ce projet.
Dissipation d'énergie par ressaut hydraulique cas d'un canal rectangulaire à radier triangulaire
(Université Mouloud Mammeri TiziOuzou, 2014) Aksoum, Kahina
Ce mémoire est consacré à la dissipation d’énergie par ressaut hydraulique. La recherche bibliographique a révélé que le ressaut hydraulique est très utilisé même à l’heure actuelle comme dissipateur d’énergie. Il est le plus simple et le moins onéreux parmi tous les autres dissipateurs. Le ressaut hydraulique se produisant dans les formes prismatique est suffisamment étudié. L’intérêt est porté actuellement aux canaux composés vue la dissipation supplémentaire causé par la forme du bassin. Les études menées sur les écoulements uniformes et non uniforme dans les canaux composés ont montré une interaction entre le lit mineur et le lit majeur. Cette interaction se manifeste par un transport de masse et se quantité de mouvement entre les deux. Notre propre apport à consister à l’étude du ressaut hydraulique dans un bassin de dissipation de forme rectangulaire à radier triangulaire. Deux approches théoriques sont réalisées. Une approche classique et une nouvelle approche dans laquelle nous avons introduit une force de résistance liés à la forme composée du canal. Les deux équations résultantes sont présentées en termes adimensionnelles afin de leur donner un caractère de validité général. Autrement dit, sous cette forme, les équations s’appliqueront aussi bien sur un modèle réduit que sur un prototype. Rappelant ici que la similitude entre deux ressauts hydrauliques exige uniquement l’égalité du nombre de Froude de l’écoulement incident. L’effet du nombre de Reynolds est négligeable du fait que les forces de viscosité sont négligeables devant les forces d’inertie. La connaissance du rapport des hauteurs conjuguées permet d’évaluer le rendement du ressaut à l’aide de l’équation (2.30) présentée également sous forme adimensionnelle. Plusieurs graphiques, illustrant les équations adimensionnelles résultantes, sont tracés. Une confrontation entre le développement classique et la nouvelles approche est également illustrée par des figures aussi bien pour le rapport des hauteurs conjuguées que pour le rendement. Il est bien vérifier que Y diminue et augmente quand on tient compte de la force de résistance. Précisant que tous les développements sont réalisés sous quelques hypothèses simplificatrices en sus de la force de résistance supposée dans la nouvelle approche. L’étude est loin d’être exhaustive. Des essais sur modèle réduits au laboratoire sont indispensables afin de justifier les différentes hypothèses simplificatrices supposées ainsi que la formule donnant la force de résistance liée à la forme composée du canal. Cette force de résistance doit être confirmé, infirmé ou corrigé par cette indispensable étude expérimentale. Les essais au laboratoire permettront également d’évaluer les longueurs caractéristiques du ressaut hydrauliques, en l’occurrence la longueur du ressaut et la longueur du rouleau. Ces caractéristiques serviront au dimensionnement du bassin de dissipation ou se produirait le ressaut hydraulique.

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