Étude sur les infections nosocomiales chez les nouveaux nés au niveau du CHU de Tizi-Ouzou
| dc.contributor.author | Hadjali, Kenza | |
| dc.contributor.author | Imahloubene, Lyza | |
| dc.date.accessioned | 2024-05-21T08:35:22Z | |
| dc.date.available | 2024-05-21T08:35:22Z | |
| dc.date.issued | 2023 | |
| dc.description | 57 p. : ill. ; 30 cm. (+ CD-Rom) | |
| dc.description.abstract | Les infections nosocomiales (IN) chez les nouveau-nés constituent une préoccupation majeure au sein des services de soins intensifs et de néonatologie. Ces infections peuvent entraîner des complications graves et augmenter la morbidité et la mortalité chez les nourrissons, en particulier chez les prématurés. Notre étude vise à évaluer l'incidence des infections nosocomiales dans le service de néonatologie du CHU de Tizi-Ouzou, à identifier les micro-organismes impliqués et à déterminer les principaux facteurs de risque associés à l'acquisition de ces infections. Nous utilisons des examens tels que la protéine C-réactive (CRP), examen cytobactériologique des urines (ECBU) et les hémocultures afin de faciliter le diagnostic des infections et de comprendre les taux élevés d'échecs de traitement et la diversité des germes responsables. Nos résultats montrent que le taux de prévalence des infections nosocomiales chez les nouveau-nés est de 8% dans une étude menée sur un groupe de nourrissons admis à l'hôpital. La méthode d'évaluation utilisée a été le dosage de la protéine C-réactive (CRP) avant et après un séjour de 48 heures en milieu hospitalier. Les facteurs de risque les plus courants incluent sont l'âge gestationnel, le poids à la naissance, la durée du séjour hospitalier, l'utilisation de dispositifs invasifs, le contexte hospitalier et la consommation excessive d'antibiotiques à large spectre. L’analyse microbiologique a permis d’identifier les souches suivantes :Escherichia coli, Klebsiellapneumoniae, Streptococcus, Staphylococcus aureus, Listeria monocytogenes, Pseudomonas, Enterococcus, Candida albicans, Serratiamarcessens, Acinetobacterbaumanii, BLSE et Proteus mirabilis. Les résultats épidémiologiques ont révélé que les entérobactéries à gram négatif sont les agents pathogènes les plus fréquemment impliqués dans les infections nosocomiales dont Escherichia coli est l’espèce la plus incriminée, Les bactéries à gram positif, en particulier Staphylococcus et Streptococcus, peuvent provoquer des maladies graves chez les nourrissons présentant une immunité déficiente ou nés prématurément. Pour prévenir les infections nosocomiales, une antibiothérapie est rapidement mise en place en cas de suspicion d’infection. Les antibiotiques utilisés dépendent du type d’infection et de la sensibilité de l’agent pathogène aux antibiotiques. Cependant, l’utilisation abusive et non-réglementée d’antibiotiques à large spectre a entraîné une résistance accrue des germes, ce qui est un problème préoccupant. | |
| dc.identifier.citation | Spécialité : Sciences Biologiques; Option : Biochimie Appliquée | |
| dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/23613 | |
| dc.language.iso | fr | |
| dc.publisher | Université Mouloud Mammeri | |
| dc.subject | Infection nosocomiale | |
| dc.subject | Nouveau-né | |
| dc.subject | Prématuré | |
| dc.subject | Protéine C Réactive | |
| dc.subject | Bactérie | |
| dc.subject | Antibiothérapie | |
| dc.title | Étude sur les infections nosocomiales chez les nouveaux nés au niveau du CHU de Tizi-Ouzou | |
| dc.type | Thesis |