Les bandits d’honneur de Kabylie
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Date
2018
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Publisher
Faculté des Sciences Humaines et Sociales Département des Sciences Humaines
Abstract
Avec la chute du second empire en 1871, le régime civil est proclamé
pour la colonie. Cela mit fin au pouvoir militaire pour être remplacé par un
régime civil, et administratif sous le commandement des colons, dans l’absence
d’une voie de contestation politique qui n’était pas encore d’actualité, ainsi
qu’avec la lutte armée qui était bien révolue à l’exception de quelques
mouvements isolés, et vite matés.
La Kabylie, à l’instar des autres régions de l’Algérie, pays des montagnes
ravinées, et de forêts inextricables, a toujours donné asile à un nombre de
révoltés, notamment depuis l’échec de l’insurrection de 1871, dans la partie du
haut Sebaou, où se développait une autre forme de contestation à l’ordre
colonial.
Ce fut le combat des révoltés, et des résistants contre l’administration
coloniale établit à l’égard des indigènes Algériens, et durant laquelle le
banditisme indigène a pris essor considérable pour être ouvertement dressé
contre toutes formes de présence française, et ses serviteurs
La problématique de cette modeste recherche, traite le banditisme
d’honneur en Kabylie, dont laquelle on s’est focalisé essentiellement sur trois
échantillons d’études, qui menaient la vie dure et semer la torture et la terreur
pendant longtemps dans les esprits des hautes autorités coloniales et faisaient
couler beaucoup d’encre. D’après des administrateurs français à travers leurs
écrits portant les mouvements et les exploits d’Arezki-El-Bachir au niveau
d’Ath Ghorbi, les frères Ouabdoun d’Ath Djennad, ainsi qu’Ahmed Oumeri
d’Ath Sedka .
Description
Keywords
Ahmed Oumeri, Arezki-El-Bachir, Abdoun, bandits, kabylie
Citation
HISTOIRE MODERNE ET CONTEMPORAINE