Le financement du système de santé en Algérie :les forfaits hôpitaux Cas du CHU deTIZI-OUZOU
| dc.contributor.author | Bourahla, Souhila | |
| dc.contributor.author | Mederbel, Hakim | |
| dc.date.accessioned | 2020-01-06T10:14:58Z | |
| dc.date.available | 2020-01-06T10:14:58Z | |
| dc.date.issued | 2018-12-19 | |
| dc.description | 76 P.:ill;30cm.(+cd) | en |
| dc.description.abstract | Le financement du système de santé algérien est repose sur les dotations budgétaires de l’Etat, d’une contribution forfaitaire des organismes de la sécurité sociale (CNAS et CASNOS) et d’une participation de plus en plus importante des ménages. Avant 1974, avant l’instauration .Le financement des hôpitaux publics en Algérie se pratiquait sur la base du mode de rémunération appelée "prix de journée" déterminée conjointement en termes de négociation entre les départements wilayas) et les organismes de sécurité sociale). À partir de janvier 1974, l’Algérie adopte une politique de gratuité des soins dans les structures publiques de santé (substitution des paiements directs (acte et prix de journée) parla formule « budget global »). Cette décision politique facilite l’accès aux soins et aux médicaments, surtout pour les démunie L’État est à la fois le principal prestataire de services et la principale source de financement des services de santé. Les forfaits hôpitaux Il constitue la contribution de la sécurité sociale au financement des secteurs sanitaires ou segment public de soins. Ce forfait a été mis en œuvre en 1973avec l’instauration de la gratuité des soins, son montant est déterminé à partir de1980 par la loi de finances, conformément à la réglementation en vigueur, le forfait hôpitaux versé par les caisses de sécurité sociale était destiné à couvrir tous les frais encourus à l’hôpital (visites médicales).Depuis 1974 et en vertu de l’institutionnalisation de la médecine gratuite en Algérie, la sécurité sociale est sollicitée par la loi à contribuer au financement des budgets de fonctionnement des établissements publics de santé à travers une participation forfaitaire fixée annuellement dans le cadre de la loi de finances. La sécurité sociale participe au financement des établissements publics de santé en Algérie. Cette participation a connu deux périodes importantes ; la premier période est celle d’avant l’instauration de la gratuité des soins dans les structures publiques de santé en Algérie, tandis que la seconde période est celle s’étalant de la gratuité des soins instaurée en 1973 jusqu’à nos jour qui peut être subdivisée Le forfait globale présente de nombreuse limites et il s’est avéré nécessaire et depuis très longtemps de se substituer à ce mode de financement par de nouveaux mécanismes privilégiant, le procédé de la facturation de santé réellement fournie. | en |
| dc.identifier.citation | Option:Economie de la Santé | en |
| dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/9524 | |
| dc.language.iso | fr | en |
| dc.publisher | Universitité Mouloud Mammeri | en |
| dc.subject | Centre hospitalier | en |
| dc.subject | Etablissement hospitalier | en |
| dc.subject | Population | en |
| dc.subject | Financement | en |
| dc.title | Le financement du système de santé en Algérie :les forfaits hôpitaux Cas du CHU deTIZI-OUZOU | en |
| dc.type | Thesis | en |