Développement de la monétique : étude comparative Algérie-Côte d’Ivoire

dc.contributor.authorDjebe, Carinne Lucette
dc.contributor.authorSossie Deguelah, Emmanuel
dc.date.accessioned2020-03-03T09:53:03Z
dc.date.available2020-03-03T09:53:03Z
dc.date.issued2019-01-23
dc.description106 p.:ill;30cm.(+cd)en
dc.description.abstractAvec l’évolution des technologies de l’information nous assistons depuis quelques années à une nouvelle transition vers la monnaie électronique marquée par la dématérialisation de la monnaie physique. La monétique regroupe l’ensemble des techniques informatiques et magnétiques permettant l’échange de fond sans support et impliquant une relation tripartite entre les banques, les commerçants et les consommateurs. Elle peut aussi être définit comme l’ensemble des traitements électroniques, informatiques et télématiques nécessaire à la gestion de la carte bancaire et des transactions associées. Aujourd’hui, la monétique devient une nécessité car elle constitue un instrument qui répond favorablement aux exigences du développement. En effet, c’est un moyen d’accompagnement et de mise en œuvre de la stratégie commerciale. Elle constitue inéluctablement un moyen concret de modernisation du secteur bancaire regroupant les domaines suivants : la création et la personnalisation des cartes ; le système permettant l’usage des cartes en temps réel et le matériel acceptant les cartes : DAB ; GAB et TPE.Le secteur bancaire ivoirien est dominé par cinq grandes banques (SGBCI, ECOBANK, BACI, NSIA, SIB) sous le contrôle de l’institution majeure la BCEAO tandis qu’en Algérie six banques publiques dominent le marché sous la supervision de la Banque d’Algérie, à savoir, la CNEP banque, la BNA, la CPA, la BEA, la BADR et la BDL. L’operateur gestionnaire de la monétique en Algérie est la SATIM tandis qu’en côte d’Ivoire il s’agit de la BCEAO à travers la GIM-UEMOA qui joue un rôle fédérateur pour toutes les banques équivalentes à la SATIM. La monétique algérienne propose deux cartes : la carte de paiement et de retrait tandis que du côté de la Côte d’Ivoire il y a trois cartes interbancaires : la carte GIM-UEMOA, la carte Visa et la Mastercard. Le mobile banking est en plein essor en côte d’Ivoire. Malgré les efforts introduits pour le développement de la monétique dans les deux pays : Algérie et Côte d’Ivoire, elles rencontrent des retards considérables. Il y a beaucoup d’effort à faire. Cependant vu l’acceptation et la réceptivité de la monétique en Côte d’Ivoire ses cinq derniers années, nous déduisons qu’elle a plus de chance de se développer.en
dc.identifier.citationOption:Finance et Banqueen
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/11177
dc.language.isofren
dc.publisherUniversité Mouloud Mammerien
dc.subjectDématérialisationen
dc.subjectMonétiqueen
dc.subjectBanqueen
dc.subjectCarte bancaireen
dc.subjectPorte monnaie électroniqueen
dc.titleDéveloppement de la monétique : étude comparative Algérie-Côte d’Ivoireen
dc.typeThesisen

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