L’échec scolaire à l’ère du confinement : Le cas des collégiens de l’école BENRAMDANI Sadia (Tadmait)
| dc.contributor.author | Bentchakal, Kamélia | |
| dc.contributor.author | Belkessam, Tinhinane | |
| dc.date.accessioned | 2021-11-23T08:45:09Z | |
| dc.date.available | 2021-11-23T08:45:09Z | |
| dc.date.issued | 2020 | |
| dc.description.abstract | Il est inquiétant de lire que plus de 200.000 adolescents algériens, quittent le système scolaire chaque année. La cause principale de cet abandon réside dans « l’échec scolaire ». Le phénomène d’échec scolaire est une notion assez complexe, qui n’est pas très facile à cerner, car cette dernière peut faire appel à plusieurs disciplines telles que la socio-pédagogie, la médecine etc. Toutefois, l’apprenant dans son environnement d’apprentissage, fait face à de nombreux facteurs, susceptibles de faciliter voire freiner son parcours scolaire, d’où le « cadre temporel » ou « l’époque » dans laquelle apprend l’élève pourrait devenir un paradigme d’analyse de la notion d’échec scolaire, tout en déterminant son échec ou sa réussite. Le meilleur exemple de cela, est la situation assez exceptionnelle qu’a vécue le monde en 2020, à cause du CORONAVIRUS. En effet, la crise sanitaire causée par cette pandémie a eu de lourdes conséquences sur tous les secteurs de la vie quotidienne à travers le monde, notamment le secteur de l’éducation. Les établissements scolaires se trouvaient face à l’obligation de fermer leurs portes, en vue de mettre fin à la propagation de ce virus. De ce fait, le gouvernement algérien pris également l’initiative de fermer les écoles et d’achever l’année scolaire sur deux trimestres uniquement au lieu de trois. Après l’étude menée auprès des collégiens de l’école BENRAMDANI Sadia de Tadmait, il s’avère que la suppression de ce troisième trimestre de l’année affectée par le confinement (2019/2020) n’a pas eu d’impact immédiat sur les résultats de ces apprenants en langue française, vu que les taux annuels de réussite et d’échec restent les mêmes que ceux des années précédentes achevées sur trois trimestres. Sauf que la reprise après la rupture ayant duré plus de sept mois n’a pas été comme espérée, en effet les enseignants de français se mettent d’accord pour parler du grand changement du profil d’entrée des collégiens, accompagné d’un recul au niveau des compétences fondamentales des élèves. | en |
| dc.identifier.citation | 30cm; 81p. | en |
| dc.identifier.uri | https://dspace.ummto.dz/handle/ummto/14895 | |
| dc.language.iso | fr | en |
| dc.publisher | UMMTO | en |
| dc.title | L’échec scolaire à l’ère du confinement : Le cas des collégiens de l’école BENRAMDANI Sadia (Tadmait) | en |
| dc.type | Thesis | en |