Département de Médecine
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Browsing Département de Médecine by Author "ABDELOUHAB, Katia"
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Item Etude in vivo de la réponse humorale anti-donneur et du microchimérisme après injection de cellules dendritiques du donneur dans un modèle de rejet chronique : rat Fisher donneur - rat Lewis receveur. Méthodologie.(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2005-07-06) ABDELOUHAB, KatiaL'objectif final du projet est de tester l'hypothèse selon laquelle un anticorps monoclonal anti-CD4 associé à des CD matures du donneur pourrait induire une tolérance dans un modèle de rejet chronique de coeur dans une combinaison rat Fisher donneur/rat Lewis receveur. A côté de son effet bénéfique potentiel, ce modèle en orientant la réponse immune vers une réponse TH2 pourrait favoriser la sécrétion d'anticorps anti-donneur et donc le développement du rejet chronique. L'objectif de ce travail, a été de réaliser la première partie du projet qui a cherché à définir la réponse anticorps après injection de cellules dendritiques, la réalité d'un microchimérisme induit par cette injection et de définir la dose d'anticorps monoclonal anti-CD4 à injecter en même temps que les cellules dendritiques. L'injection de 5.106 cellules dendritiques du donneur induit chez le receveur une réponse anticorps mise en évidence en cytométrie en flux. L'injection de la même dose de cellules dendritiques induit chez le receveur un microchimérisme dans les organes lymphoïdes primaire et secondaires qui se prolonge au moins jusqu'à J 45. Une opsonisation complète des lymphocytes est observée pendant 12 heures après une injection de 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 (W3-25). Ces données préliminaires nous permettrons d'utiliser le modèle de greffes de coeur rat Fisher vers rat Lewis associé à une injection à JO de 2.106 cellules du donneur avec ou sans 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 par ratItem Etude in vivo de la réponse humorale anti-donneur et du microchimérisme après injection de cellules dendritiques du donneur dans un modèle de rejet chronique : rat Fisher donneur - rat Lewis receveur. Méthodologie.(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2005-07-06) ABDELOUHAB, KatiaL'objectif final du projet est de tester l'hypothèse selon laquelle un anticorps monoclonal anti-CD4 associé à des CD matures du donneur pourrait induire une tolérance dans un modèle de rejet chronique de coeur dans une combinaison rat Fisher donneur/rat Lewis receveur. A côté de son effet bénéfique potentiel, ce modèle en orientant la réponse immune vers une réponse TH2 pourrait favoriser la sécrétion d'anticorps anti-donneur et donc le développement du rejet chronique. L'objectif de ce travail, a été de réaliser la première partie du projet qui a cherché à définir la réponse anticorps après injection de cellules dendritiques, la réalité d'un microchimérisme induit par cette injection et de définir la dose d'anticorps monoclonal anti-CD4 à injecter en même temps que les cellules dendritiques. L'injection de 5.106 cellules dendritiques du donneur induit chez le receveur une réponse anticorps mise en évidence en cytométrie en flux. L'injection de la même dose de cellules dendritiques induit chez le receveur un microchimérisme dans les organes lymphoïdes primaire et secondaires qui se prolonge au moins jusqu'à J 45. Une opsonisation complète des lymphocytes est observée pendant 12 heures après une injection de 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 (W3-25). Ces données préliminaires nous permettrons d'utiliser le modèle de greffes de coeur rat Fisher vers rat Lewis associé à une injection à JO de 2.106 cellules du donneur avec ou sans 2 mg d'anticorps monoclonal anti-CD4 par rat.Item Principes, stratégies et résultats de la vaccination anti-tumorale chez l'homme utilisant des antigénes présentés par les cellules dendritiques(Université Mouloud MAMMERI FACULTE DE MEDECINE TIZI-OUZOU, 2006) ABDELOUHAB, KatiaPlusieurs travaux [4, 43,13] ont prouvé la faisabilité et la non toxicité de l'immunothérapie basée sur les DCs en clinique, son efficacité a été observée chez quelques patients particulièrement lorsque les DCs ont été convenablement maturées et activées. Les chercheurs et les cliniciens sont confrontés à prouver l'efficacité des vaccins anti-cancer basés sur les Vi DCs dans des études cliniques bien contrôlées et d'élargir leur utilisation chez tous lès patients. Ainsi, la standardisation'-des vaccins basés sur les DCs doit être l'objectif des recherches à venir. La collaboration entre les sociétés de biotechnologie, les banques de sang et les institutions académiques va certainement activer le développement des vaccins basés sur les DCs. L'optimisation de cette stratégie peut conduire à une thérapie incontournable, traçant le chemin pour un traitement prometteur.