Analyse mécano-fiabiliste de la stabilité au glissement d’une digue de type zonée

dc.contributor.authorAissiouane, Sofiane
dc.contributor.authorKhimeche, Idir
dc.date.accessioned2019-05-23T10:34:28Z
dc.date.available2019-05-23T10:34:28Z
dc.date.issued2016
dc.description66 f. : ill. ; 30 cm. (+ CD-Rom)en
dc.description.abstractPour l’analyse de la stabilité au glissement du parement amont d’une digue zonée. Deux méthodes ont été utilisées dans le cadre de ce mémoire. Une méthode déterministe et une méthode fiabiliste. La méthode déterministe, de Fellenius, a permis de calculés un coefficient de sécurité Fs que nous avons comparé au coefficient de sécurité limite fixé par le PNUD, et utilisé par les ingénieurs, à savoir Fs =1.4. Les résultats obtenues ont montré que :  Le coefficient de sécurité sans tenir compte du séisme et de la ligne de saturation, est supérieure à 1.4 donc la digue est stable.  En tenant compte du séisme le coefficient de sécurité diminue, mais reste toujours vérifié dans la zone I et II, sauf pour la zone III. Mais en tenant compte de la ligne de saturation, le coefficient de sécurité est inférieure à 1.4, soit en tenant compte ou sans tenir compte du séisme. Cette étude nous a permis de mettre sur pied un programme sur un classeur Exel facile d’utilisation par les ingénieurs et qui constitue un outil d’aide à la décision. Pour une meilleure précision de la marge de sécurité fixée entre 10-3 et 10-8 pour les structures en génie civil, l'application d'une approche fiabiliste est nécessaire. La méthode utilisé est la simulation de Monte Carlo classique, en tenant compte de la variabilité du coefficient d'accélération de zone sismique «A », représenté par une loi de distribution Log Normal. Le calcul de la probabilité de défaillance Pf de la digue sans tenir compte de la ligne de saturation, a donné Pf =0.000233 uniquement pour la zone I, qui est inférieure à la probabilité admissible 10-3. Cependant, tenant compte de la ligne de saturation, la condition de la stabilité n’est vérifiée pour aucune des zones sismiques (Pf > Pf limit). Par ailleurs l’optimisation de l’angle β nous a mené à conclure qu’il est nécessaire de prendre en compte tous les paramètres possibles afin d’assurer la stabilité de talus de la digue au glissement, au niveau des bureaux d’études techniques, en phase de conception. Les méthodes déterministes, telles que décrites par les règlements, entre autre le PNUD, destinés aux ingénieurs sont nécessaires et bien élaborées, mais restent de nous jours insuffisantes étant donné que les ingénieurs du vingt et unième siècle disposent d’autres outils modernes (ordinateurs puissants) qui permettent d’analyser avec précision certains phénomènes de stabilité. Nous avons pu mettre en évidence à travers cette étude que les méthodes fiabilistes restent complémentaires aux méthodes déterministes, comme l’attestent les résultats de l’analyse déterministe (tableau 2.11) où les conditions de stabilité sont vérifiées pour les zones I, IIa et IIb, mais non vérifiés avec l’analyse fiabiliste pour les zones I et IIa (voir tableau 3.6).en
dc.identifier.citationHydrauliqueen
dc.identifier.otherMST/HYD35
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/3165
dc.language.isofren
dc.publisherUniversité Mouloud Mammeri TiziOuzouen
dc.subjectDigue : glissement :stabilité : analyseen
dc.titleAnalyse mécano-fiabiliste de la stabilité au glissement d’une digue de type zonéeen
dc.typeThesisen

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