Valorisation d’un héritage défensif, entre mémoire et contemporanéité

dc.contributor.authorAigoun, Sonia
dc.contributor.authorOsmani, Sonia
dc.contributor.authorDir. Benazzouz, Karima
dc.date.accessioned2021-11-22T08:18:20Z
dc.date.available2021-11-22T08:18:20Z
dc.date.issued2016-06
dc.description96 f. : ill. ; 30 cm. (+CD-Rom)en
dc.description.abstractL’Algérie indépendante ; a hérité des différentes périodes d’occupation de son territoire, de plusieurs édifices architecturaux, défensifs, pour certains à valeur patrimoniale indéniable. Ouvrages d’art militaire, équipements sanitaire ou éducatifs, architecture domestique sont aujourd’hui laissés à l’abandon et par conséquent soumis aux influences des conditions climatiques ou d’actions irréfléchies de l’homme. Héritage d’une période douloureuse de notre histoire, les systèmes militaires défensifs n’ont pas échappé au squat, à la démolition ou tout simplement l’abandon. Les réinsérer aujourd’hui dans la contemporanéité est synonyme d’une sauvegarde garantie et pourront ainsi participer au développement économique de toute une région. Bejaia, à l’instar de beaucoup de villes côtières algériennes, a également héritée d’un grand nombre d’édifices à caractère militaire. Murailles, forts, casernes… sont encore aujourd’hui visibles sur son territoire, certains en ruine d’autres encore debout réaffectés pour d’autres fonctions civile ou militaire ou tout simplement squattés par les habitants du quartier pour servir de logements. C’est en effet le cas du fort Clauzel squatté depuis plusieurs. Cet édifice est aujourd’hui isolé du reste de la ville et ne participe guerre à une quelconque activité urbaine. Il représente une opportunité pour la ville afin de répondre au concept de construction de la ville sur elle-même. La réinsertion des édifices militaires dans la vie contemporaine par leur réaffectation à de nouveaux usages, représente un thème de recherche motivant en vertu d’abord de leur valeur en tant que témoin mais aussi en tant que potentiel pour la ville .Pour se faire nous proposons une réhabilitation exogène de cet édifice pour lui garantir une deuxième vie et le réaffecter pour une activité culturelle à l’échelle du quartier. Nous proposons également une nouvelle conception d’un édifice dédié à l’art et à l’artisanat, un parcours servira de jonction entre le fort réhabilité et la cité d’art et d’artisanat. Mots clés : Héritage, fort Clauzel, défensifs, Bejaia, réhabilitation, cité, arts, artisanat, parcoursen
dc.identifier.citationArchitecture, ville et patrimoineen
dc.identifier.otherM249
dc.identifier.urihttps://dspace.ummto.dz/handle/ummto/14833
dc.language.isofren
dc.publisherUniversité Mouloud Mammerien
dc.subjectArchitecture militaire : Algérieen
dc.subjectFort : Clauzel (Béjaïa)en
dc.titleValorisation d’un héritage défensif, entre mémoire et contemporanéitéen
dc.title.alternativecas du fort Clauzel, Bejaiaen
dc.typeThesisen

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