Browsing by Author "OUAZZI, Ferroudja"
Now showing 1 - 1 of 1
Results Per Page
Sort Options
Item Aserwes gar tuccḍiwin n tira n yinelmaden n uswir alemmas Aɣerbaz n tɣiwant n Tizi-Wuzu Mulud FERƐUN, d uɣerbaz alemmas n tɣiwant n uqbil BEN WUSƐID Muḥend Salaḥ(Université Mouloud Mammeri Tizi-Ouzou, 2022) MOUZARINE, Fawzi; OUAZZI, FerroudjaNotre mémoire a pour objectif l’analyse et le traitement des erreurs dans lesquelles tombent les élèves du C.E.M (classe moyenne), lors d’une activité de production écrite réalisée en classe. Ce que l'on peut considérer comme étant l’un des modèles auxquels pourront se référer les enseignants, pour améliorer leurs approches et leurs pratiques en classe, et aussi faire de leur mieux pour aider à leurs tour les élèves à surmonter ses erreurs. C’est une tentative de comparaison entre les erreurs de l'écrit en tamazight des élèves des classes moyennes de l’établissement (BEN WOUSID MOUHAMED SALAH) au village, et les erreurs de l'écrit en tamazight des élèves des classe moyenne de l’établissement MOULOUD FERAOUN) en ville, dans leurs productions écrites sur le plan, syntaxique, grammaticale, et morphologique… Nous avons entamé notre travail par la présentation de l’objectif de notre recherche, l’analyse du corpus et présentation du terrain d’étude. Dans notre travail nous avons essayé de rependre à une problématique qui est suivi d’un ensemble d’hypothèses, que nous présentons comme suit : PROBLEMATIQUE - Quel genre d’erreurs que les élèves commettent dans l’écriture de tamazight ? - Comment on les corrige ? - Quelles sont les difficultés qui se répètent souvent ? - Dans quelle région on trouve le plus nombre d’erreurs, dans les écoles de la ville où bien dans celui du village ? HYPOTHESES - On trouvera peut-être beaucoup plus d’erreurs au niveau de la phonétique ; - Peut-être on trouvera des erreurs dans l’écriture du tiret et de la voyelle « e » ; - Peut être que se sont les élèves de la ville qui commettent beaucoup plus d’erreurs de l’écrit ; - Peut être ce sont les élèves de première et deuxième année moyenne qui commettent beaucoup plus d’erreurs ; Notre mémoire est réparti en deux chapitres : - Le 1er chapitre : c’est une définition des concepts clé où ce qu’on appelle les concepts de base tels que : la faute, l’erreur, l’écriture, la production écrite…Le 2eme chapitre : c’est un chapitre ou on a réalisé une analyse des données que nous avons recueilli, puis on a corrige les erreurs que nous avons trouvé dans les productions écrites ; Cependant nous avons dégagé des erreurs tel que : - L’état d’annexion ; - L’erreur de voyelles ; - Les pronoms personnels ; - L’assimilation. LA METHODE Pour avoir des réponses, nous sommes sortis sur le terrain, nous sommes allés vers deux établissements, MOULOUD FERAOUN en ville et OULD ELHADJ au village. Dont nous avons recueilli 30 feuilles de chaque établissement, ce qui nous fait 60 feuilles qui contiennent des productions écrites, nous avons relevé toutes les erreurs puis on les a corrigés à fin de rependre aux questions de notre fameuse problématique. En ce qui concerne les hypothèses que nous avons rédigé, on peut dire dans le premier lieu qu’on a trouvé les erreurs de l’écrit chez les élèves des deux établissements que ce soit ceux de la ville où bien ceux du village. En plus de ça, les erreurs trouvées ne tournent pas uniquement sur l’écriture du tiret mais aussi sur la grammaire, la syntaxe et l’assimilation… En deuxième lieu nous avons pu faire la différence entre les niveaux, comme nous l’avons déjà cité dans les hypothèses, les élèves de la première et la deuxième année commettent beaucoup plus d’erreurs par rapport aux élèves des autres niveaux (3eme et 4eme année). En troisième lieu, les élèves de l’école moyen de la ville commettent plus d’erreurs, contrairement aux élèves de l’école du village, en plus de ça, ils utilisent les emprunts, et des mots en arabe, ce que nous l’on ne trouve pas chez les élèves de l’école du village. Enfin, nous pouvons dire que les élèves trouvent encore des difficultés dans l’écriture de tamazight, à ce propos il vaut mieux inciter et former les apprenants à s’auto-évoluer et a s’auto-corriger, comme nous avons remarqué dans plusieurs parties de ce travail, il faut chercher à tout prix un temps opportun pour l’analyse et l’interprétation mutuelles des erreurs qui aideront les apprenants à être plus habiles à corriger et à supprimer leurs erreurs.