Browsing by Author "Chougar, Safia"
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Item Bioécologie de la mineuse de la tomate Tuta absoluta (MEYRICK, 1917) (Lepidoptera : Gelechiidae) sur trois variétés de tomate sous serre (Zahra, Dawson et Tavira) dans la wilaya de Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-15) Chougar, SafiaLa mineuse de la tomate Tuta absoluta Meyrick (Lepidoptera : Gelechiidae) est un microlépidoptère très redoutable, qui cause depuis quelques années des dégâts, dont la conséquence est l’anéantissement des productions entières de tomate, aussi bien sous serre qu’en plein champ. Notre travail est une première initiative d’étude sur la bioécologie du ravageur en Kabylie. Deux régions ont été choisies elles sont représentées par le littoral (région d’Azeffoun) et le sublittoral (Sidi- Naâmane). Trois variétés de tomate Zahra, Dawson et Tavira ont fait l’objet de l’étude durant la période s’étalant d’Avril 2011 à Septembre 2011. Les résultats que nous avons obtenus, nous montrent que les facteurs climatiques (température et taux d’humidité) aussi bien au littoral qu’au sublittoral n’influencent pas sur le nombre d’adultes capturés dans les pièges à phéromones tout au long des semaines d’échantillonnage. Par contre ces mêmes facteurs ont une incidence sur l’activité et le développement du ravageur. Les résultats sous conditions de serre mettent en évidence la présence de 03 générations pour la variété Zahra, 06 générations pour la variété Dawson et quatre générations pour la variété Tavira, avant la destruction totale de la production. L’étude de la dynamique des populations confirment les mêmes résultats chez les trois variétés de tomate, à savoir que sur les quatre stades larvaires, le stade L3 est le plus important, et le stade L1 est le point représentatif lors des différents échantillonnages. Les observations effectuées nous indiquent qu’il n’y a aucune résistance variétale aussi bien au littoral qu’au sublittoral. Alors que le taux d’infestation est beaucoup plus important sur les étages foliaires apicaux. Quant aux femelles de T.absoluta, elles ont une préférence de ponte sur les faces inférieures des variétés Zahra et Dawson et sur les faces supérieures de la variété Tavira.Item Bioécologie de la mineuse de la tomate Tuta absoluta (MEYRICK, 1917) (Lepidoptera : Gelechiidae) sur trois variétés de tomate sous serre (Zahra, Dawson et Tavira) dans la wilaya de Tizi-Ouzou(Université Mouloud Mammeri, 2011-12-15) Chougar, SafiaLa mineuse de la tomate Tuta absoluta Meyrick (Lepidoptera : Gelechiidae) est un microlépidoptère très redoutable, qui cause depuis quelques années des dégâts, dont la conséquence est l’anéantissement des productions entières de tomate, aussi bien sous serre qu’en plein champ. Notre travail est une première initiative d’étude sur la bioécologie du ravageur en Kabylie. Deux régions ont été choisies elles sont représentées par le littoral (région d’Azeffoun) et le sublittoral (Sidi-Naâmane). Trois variétés de tomate Zahra, Dawson et Tavira ont fait l’objet de l’étude durant la période s’étalant d’Avril 2011 à Septembre 2011. Les résultats que nous avons obtenus, nous montrent que les facteurs climatiques (température et taux d’humidité) aussi bien au littoral qu’au sublittoral n’influencent pas sur le nombre d’adultes capturés dans les pièges à phéromones tout au long des semaines d’échantillonnage. Par contre ces mêmes facteurs ont une incidence sur l’activité et le développement du ravageur. Les résultats sous conditions de serre mettent en évidence la présence de 03 générations pour la variété Zahra, 06 générations pour la variété Dawson et quatre générations pour la variété Tavira, avant la destruction totale de la production. L’étude de la dynamique des populations confirment les mêmes résultats chez les trois variétés de tomate, à savoir que sur les quatre stades larvaires, le stade L3 est le plus important, et le stade L1 est le point représentatif lors des différents échantillonnages. Les observations effectuées nous indiquent qu’il n’y a aucune résistance variétale aussi bien au littoral qu’au sublittoral. Alors que le taux d’infestation est beaucoup plus important sur les étages foliaires apicaux. Quant aux femelles de T.absoluta, elles ont une préférence de ponte sur les faces inférieures des variétés Zahra et Dawson et sur les faces supérieures de la variété Tavira.Item Bioécologie de la mineuse de la tomateTuta absoluta (Meyrick,1917) dans la région de Tizi Ouzou .Esssais de lutte(Universite Mouloud MAMMERI Tizi-Ouzou, 2020) Chougar, SafiaL’étude a porté sur la bioécologie de la mineuse de la tomateTutaabsolutadans des serresde tomate dans les régions de Azzefounet Sidi Naâmane (Tizi-Ouzou). Le suivi est réalisé sur quatre variétés de tomate (Cartier, Tavira, Tomallowet Dawson).Les résultats montrent l’existence de quatre périodes de vols (4 générations) sur les variétés Tomallow et Cartieret 3 périodes de vol sur la variété Taviradans la région de Azzefoun. Trois périodes de vols sont rapportéessur les variétés Tavira et Dawson ; sur la variété Cartier seulement 2 périodes de vol sont enregistrées, dans la région de Sidi Naâmane. Les deux faces foliaires, inférieures et supérieures sont attaquées par les larves de T.absoluta présentant relativement le même degré d’infestation. Les femelles de T.absoluta marquent une préférence d’oviposition sur les feuilles médiane des plants de tomate, comparés aux feuilles apicale et basales.Les larves de la mineuse de la tomate s’alimentent en créant des mines d’extension mésophylliennes affectant la capacité photosynthétique avec un nombre maximal de 714 minesenregistré sur la variété Cartier (Azeffoun).L’inventaire des invertébrés réalisé au sein de la serre de variété Cartier à Azzefoun par l’utilisation du filet fauchoir, les pots Barber et les pièges aériens jaunes nous a permis de capturer 76 espèces réparties en 46 familles, appartenant à 16 ordres et à 6 classes d’invertébrés. Les valeurs de l’indice de diversité de Shannon sont assez élevées, elles varient de H’= 2,68 bits à H’= 4,84 bits. L’équitabilité obtenue pour chaque type de piège varie de E= 0,53 à E= 0,87, ces valeurs tendent vers 1, ce qui traduit un équilibre entre les espèces du milieu. La toxicité des huiles essentielles étudiées à l’égard des larves du troisième et quatrième stade de T.absoluta, a permisde constater que la toxicité moyenne des larves L3 et L4 augmente proportionnellement avec les doses et les huiles essentielles utilisées ainsi que la durée d’exposition. Les valeurs obtenus pour les DL50 calculées après 24 heures d’exposition, nous ont permis de conclure que les huiles essentielles testées présentent une efficacité la plus importante pour E. globulus, E. radiata, E. citronella, suiviesde C.parasidi, C.limonom, T.vulgaris, M.piperita et O.basilicum sont moins toxiques.Item Phytopathologie partie virus, viroïdes et phytoplasmes(Université Mouloud Mammeri, 2024) Chougar, SafiaLa phytopathologie est une discipline scientifique qui s’intéresse à l’étude des maladies des végétaux causées par des les bactéries, les champignons et les virus. Ce présent polycopié s’intéressera à la partie virologie, qui est elle-même une partie du module de phytopathologie destiné à des étudiants de Master en Protection des Végétaux. En effet, cette partie de module englobera les virus, viroïdes et phytoplasmes. Les phytovirus sont des nucléoprotéines qui causent des dégâts importants sur les organismes végétaux. Ils peuvent prendre plusieurs formes et les attaques virales peuvent se traduire par plusieurs symptômes qui affectent les plantes. La réplication virale comprend plusieurs étapes qui sont : la pénétration dans la cellule hôte, décapsidation, réplication du génome, synthèse des composants viraux, assemblage et encapsidation et enfin libération. La transmission peut se faire via une voie avec vecteur horizontal (externe) ou sans vecteur vertical (interne). Les viroïdes quant à eux sont plus petits que les virus, ils attaquent exclusivement les plantes économiquement importantes. Les phytoplasmes sont des microorganismes bactériens qui attaquent essentiellement des plantes hôtes dicotylédones. Le diagnostic représente deux composantes complémentaires, qui sont les symptômes observés sur la plante et les symptômes observés à échelle cellulaire. Le diagnostic peut être biologique ou sérologique.